dimanche 8 mai 2016

Biographie du President Bagaza Yochanan (Jean) - Président du Burundi (1976-1987)

Biographie du Président Bagaza Yochanan (Jean)
Président du Burundi (1976-1987)

1. Enfance et Formation

Yochanan (Jean)-B. Bagaza, est né a Rutovu en Province Bururi, le 26 août 1946. Issu d’une famille TUTSIM du clan des “BASHINGO”, initialement originaire du district de “Bisoro” dans la circonscription de MWARO, le jeune Bagaza fait de brillantes etudes primaire a RUTOVU, puis a KIBUMBU ; il entre ensuite au College Jesuite du Saint-Esprit a Bujumbura pour ses Humanites Generales, avant de s’enroler a l’Ecole Royale Militaire des Cadets en Belgique. Il poursuit sa preparation a l’Art de la Guerre a l’Academie Militaire de Belgique, une formation qu’il conduit de front avec une double specialisation en Sociologie et en Criminologie, a l’Universite Libre de Bruxelles. Triplement betonne dans l’Art de conduire les Hommes en temps de Guerre comme en temps de Paix, le jeune Laureat fait ensuite plusieurs stages Militaires dans diverses unites de l’OTAN avant de rentrer au pays en 1970, pour y exercer des responsabilites d’Officier d’Etat Major dans la jeune Armee issue de la decolonisation.

2. Connections Juives et Sionistes en Europe

En Belgique puis en Europe, Bagaza ne perd pas une seule seconde de son temps qu’il sait compte. Il noue notamment des relations profondes et durables dans les milieux Juifs Liberaux de Bruxelles et de Paris, qui lui seraient bientot d’une utilite decisive, a la fois pour prendre le pouvoir et pour asseoir sa carriere de Chef d’Etat. On se souvient notamment du soutien inconditionnel dont le jeune President Bagaza beneficiera de la part de Vice-Premier Ministre belge, Jean GOL, un Juif Sioniste qui n’eut aucune difficulte a reconnaitre en lui un partenaire serieux dans le projet de Rejudaisation et de Re-Sionisation de l’”Afrique Juive”, particulierement les Juifs Tutsim.

3. Le Coup d’Etat et le Conflit immediat avec Rome

Alors qu’il est Chef d’Etat-Major Général Adjoint de l’Armée burundaise, Bagaza se met a la tete d’un groupe d’officiers hautement motives, lors d’un coup d’Etat militaire sans effusion de sang, qui le place au pouvoir le 1er Novembre 1976. Son predecesseur, Michel Micombero, etait le premier Président du Burundi, qui avait ete oblige de renverser une monarchie multi-millenaire Juive-Tutsim, sans doute la derniere du genre en Afrique, en 1966. Le Royaume multi-millenaire Juif des Tutsim, fonde sur une CONSTITUTION de Droit Sinaitique et sur un CODEX Mosaique, ne devait plus se remettre de cette blessure profonde. Mais le mal etait fait ; les vrais acteurs du hold-up anti-Tutsim n’etaient pas les Presidents Tutsim, mais la main de Rome, a travers son Eglise Catholique omnipresente, de maniere a la fois “visible” et ”Invisible”. Bagaza devait tres vite s’en rendre compte a ses depends, lorsqu’il engagea une lutte a mort contre cette “main visible et invisible” de Rome, a partir de l’annee 1979.

4. Aux prises avec la “Main Invisible” de Rome jusqu’en 1987

Yochanan Bagaza restera au pouvoir jusqu’en 1987, date à laquelle il est renversé par un coup d’État orchestre par le Vatican (et ses filiales), et qui survint à la suite d'un début de mutinerie de soldats et sous-officiers instrumentalises par le mouvement redoutable appele APOSTOLAT DE LA PRIERE organise autour de trois mouvements distincts mais coordonnees au sein de la grande “pieuvre” : le “Mouvement Marial” (ou Milice de Marie, cree en France), le “Renouveau Charismatique” (de Chiara Lubich, cree en Italie), et la “Theologie de la Liberation” (cree notamment par Mgr Romero, en Amerique Latine). Bagaza était alors en mission d’Etat au Quebec/Canada pour la Conference Internationale de la Francophonie.

5. Face a la Minorite Insurrectionnelle Hutue

Dans la configuration du Burundi posterieur au coup d’Etat Hutu suivi de tentative d’extermination des Juifs Tutsim en Avril 1972, l’appartenance identitaire etait devenue un critère determinant au Burundi. En tant que Tutsim le President Yochanan Bagaza etait donc arrivé au pouvoir dans un contexte où les Hutus, groupe disparate minoritaire “africain” constitue d’ouvriers immigres et d’employes des Missions catholiques, etaient regulierement instrumentalises par l’Eglise Catholique et les puissances neo-coloniales pour orchestrer des massacres anti-tutsim, deja sous la Monarchie Juive Tutsim (notamment en 1965), puis sous le régime immediatement precedent de Michel Micombero, en 1969 puis en 1972. Pendant son régime, Yochanan Bagaza semble avoir choisi d’ignorer tactiquement cette donne insurrectionnelle hutue, aussi meurtriere fut-elle, pour se concentrer prioritairement sur le domaine économique.

6. La Stature du Batisseur

Bagaza a par consequent laisse une empreinte indelebile sur le pays des Mille Collines (comme le Burundi est poetiquement designe) dans les domaine de l’économie, des infrastructures et de l’éducation. Son programme de planification et d’encadrement scolaire porta le taux de scolarisation primaire de 19 à 85 % entre 1976 et 19861. La majeure partie des infrastructures actuelles du Burundi datent de son régime (routes, centrales électriques, adductions d’eau, hôpitaux, centres de santé, écoles, stations de lavage du café, télécommunications, etc.). Il en est de même pour les industries, les infrastructures touristiques, l’environnement et les forêts, qui devaient par la suite souffrir enormement des actes de destruction de la part des insurges Hutu, depuis l’annee qui suivit sont renversement en 1987, et qui donna le champ libre aux guerres meurtrieres des années 1988 a 2016 (“Guerre de Trente Ans”). La production de café (principal produit d’exportation) a plus que quadruplé entre 1976 et 1987 grâce à une politique d’extension des plantations et de rajeunissement des plants.

7. La Question des Terres Confisquees Aux Juifs Tutsim

Yochanan Bagaza avait une si haute idée du rôle de l’épargne dans le développement économique qu’il imposa une épargne obligatoire dans le pays. Il eut moins de succès dans sa tentative de regrouper les habitats ruraux en villages dans le contexte d’une politique socialiste pro-tanzanienne de “Reforme Agraire”. Considerant, sans plus d’examens, que l’habitat rural dispersé sur les collines etait un handicap au developpement des infrastructures, des fonctionnaires (plus tard connus sous le sobriquet de “Somoza”), subtilement infiltres dans son gouvernement, en profiterent pour lancer des mesures de “confiscations” des terres Tutsim a l’insu du President, et la population hutue, beneficiaire de ces mesures d’expropriation directe par les effets du Decret infame du 1er Juillet 1977, s’en trouva confortee dans ses menees insurrectionnelles, au lieu de s’en tenir a ces avantages acquises illegalement. Les actions souterraines des insurges Hutus allaient etre relancees des l’annee 1979, a la faveur du mouvement ecclesiatique appele “Sahwanya”, qui devait donner, dix ans plus tard, son nom au parti Hutu de Melchior Ndadaye, le parti genocidaire “SAHWANYA-FRODEBU”.

8. Le Mouvement des “Cooperatives Populaires” qui n’en etait pas un

Le programme de cooperatives, lance a l’instigation de l’Eglise Catholique et de la Cooperation francaise, allait contribuer a la campagne politique du parti catholique hutu de Melchior NDADAYE, Directeur Local du mouvement desCooperatives Populaires “COPEC (Cooperatives d’Eapargnes et de Credits). Ces differentes politiques de développement économique étaient soutenues par les bailleurs de fonds comme la Banque Mondiale, certains pays occidentaux comme l’Allemagne, des pays du Bloc de l’Est comme la Russie, la Chine, et la Roumanie, en Afriuque par la Lybie de Kadhaffi, l’Algerie, et au Moyen-Orient par certains pays arabes comme l’Arabie Saoudite.

9. Face Aux Guerres de Religions et A l’Inquisition en Afrique Centrale

Au niveau politique, l’insurrection catholique hutue fut maintenue a l’etat latent, et le président Bagaza prefera la passer sous silence, tout en gardant un oeil vigilant sur les eventuels meneurs de l’insurrecton, qu’il integrait volontiers dans son regime pour mieux les surveiller et les dissuader de mal faire.

Une confrontation directe survint cependant avec l’Église Catholique des 1979. Cette derniere etait passee de l’etat larvaire en 1916, au statut d’”Etat dans l’Etat” a la veille de la reprise en mains des institutions etatiques par une nouvelle generation des autochtones forms a l’ecole de l’Occident, en 1976. L’intransingeance avec laquelle le regime Bagaza confronta l’Eglise Catholique signale un antagonisme structurel entre d’une part, la population autochtone Juive Tutsim, et d’autre part, l’Eglise Catholique, une survivance archaique des grandes aventures medievales initiees par les Papes et les institutions Romaines au travers des Croisades, des programmes d’Inquisitions, des expeditions militaires appellees “Croisades des Albigeois”, ainsi que des Guerres de Religions qui ont ravage pendant des siecles l’Europe Catholique. Pour rappel tout cet arriere-plan sanglant en Europe explique encore aujourd’hui les formes clandestines ou ouvertes de l’Antisemitisme Eliminationniste dont sont victimes les populations Juives Tutsim, sous les appellations “convenues” de “Genocide”, de “massacres”, et de “pogroms” cycliques et incessants orchestres par l’Eglise Catholique et ses Etats-Clients de l’Occident chretien. Bagaza devait compter avec ces passifs exogenes dans le contexte d’une Afrique a peine sortie de la poigne coloniale pour etre re-mondialisee.

10. Le Non-Alignement Positif

Au niveau diplomatique, le Burundi a pratiqué une politique de non-alignement durant la Guerre Froide, et la diplomatie de Yochanan Bagaza s’est gardée de tout militantisme en faveur d’un bloc ou d’un autre, n’insistant que sur les bonnes relations avec les partenaires économiques. Cependant, sa forte hostilité envers l’arrogance du président Zaïrois Mobutu et envers l’option anti-Tutsim du President Hutu du Rwanda, Juvenal Habyarimana était de notoriété publique.

11. Le Sioniste Camouffle

La determination Sioniste de Yochanan Bagaza le porta a ramener au pouvoir, dans l’ancien Empire Juif de Judah, des Leaders Juifs Tutsim comme YOVEL MUSEVENI en Uganda, avec l’objectif de reprendre en mains le Royaume Juif du Rwanda ; ce qui fut fait un peu plus tard, grace a son appui discret mais reel au mouvement re-naissant FPR-INKOTANYI depuis 1986, a l’epoque connu sous le sigle de “RANU”, et dirige en coulisses par un certain “Gabby”, un centenaire encore en vie, et profondement admiratif et reconnaissant, a l’heure qu’il est, pour l’appui decisif apporte par le President Bagaza a la renaissance du mouvement arme Tutsim actuellement au pouvoir a Kigali, aussi bien sous forme de fonds, d’encadrements que de lobbying.

12. Le Rassembleur Juif Tutsim

Yochanan Bagaza a maintenu des relations continues avec les communautes Tutsim du Kivu au Zaire de Mobutu, en attendant le moment ou il passerait sans doute a l’action de reprise en mains des Terres ancestrales Tutsim confisquees et accollees au Congo Leopoldien. Dans les annees d’Arusha, Bagaza devait effectuer des missions de retrouvailles (“Techouvah”/”Kibbutz”) aupres des communautes et des Nations Juives d’ Afrique, notamment au Nigeria ou vivent de larges majorites Fulani, Igbos et autres, dans le cadre du programme sioniste COSITU, un programme longuement concocte avec le Professeur Yochanan Bwejeri, durant les 15 mois de tete-a-tete privilegies, en marge des discussions fallacieuses d’Arusha. Des leaders de communautes Juives Blanches, notamment de Suisse, d’Afrique du Sud, de Tanzanie, et d’ailleurs, eurent a discuter de possibles programmes de “convergences” identitaires et politiques avec le President Yochanan Bagaza, operant cette fois-ci, ouvertemenent, en synergie avec l’Institut et Think Tank “Havila Institute”.

13. Depart du pouvoir, Exil et Debut de Genocide des Tutsim

Après son renversement en Septembre 1987, par le Major Hutu Pierre Buyoya, qu’il avait neglige imprudemment dans ses reseaux proches de l’Etat-Major, Yochanan Bagaza fut contraint à l’exil, et l’accès du territoire de son pays lui fut interdit. Il ne rentra qu’après le premier transfert illegal du pouvoir d’Etat au Hutu Melchior Ndadaye, premier “président hutu declare” de toute l’histoire multi-millenaire du pays des Tutsim appele Burundi. L’assassinat du President Hutu, illegal et illegitime, Melchior Ndadaye, fut suivi du Genocide le plus massif qui fut dirige contre la population Juive Tutsim du Burundi, avec plus de 800.000 victimes innocentes Tutsim, en Octobre 1993. Six mois plus tard, les Juifs Tutsim du Rwanda subissaient le meme sort que leurs freres du Burundi. Les consequences de cette situation d’extermination des Juifs Tutsim se perpetuent dans le Genocide en cours depuis pratiquement les 10 ans qu’une horde de miliciens Hutus ont pris de force le pouvoir au Burundi, a la faveur d’une mise en scene pseudo-diplomatique appellee “Negocations d’Arusha”, et qui eut lieu entre Juin 1998 et Novembre 2003.

14. Tentative de Restauration Tutsim et Sioniste A partir d’Arusha

Le President Yochanan Bagaza a essayé de peser de tout son poids dans la reconnaissance de l’Identite Juive des Tutsim et de leur Souverainete Politique, Legislative et Territoriale au sein des Negociations d’Arusha. Il le fit notamment par l’expertise magistrale de son bras droit aux Negociations d’Arusha, le Professeur Yochanan Bwejeri, Prince de Nkoronko, qui siegeait a la “Commission II”, entre Juin 1998 et Septembre 1999. Cette plateforme sioniste Juive ayant ete exposee devant le Facilitateur, le Mwalimu Julius Nyerere, la mouture de compromis ayant ete exposee et reconnue par les groupes en negociations, par les diplomates africains et occidentaux presents a Arusha, des lors, bizarrement, une diplomatie parallele se mit en branle, decidee a empecher la transcription de cette plateforme sioniste dans les Actes d’Arusha, ainsi que sa contrepartie consequente dans les institutions politiques et juridiques issues d’Arusha.

15. Complot d’Arusha, Impasse Politique et Derive Post-Arusha

La situation d’Impasse Politique que traverse le Burundi aujourd’hui est due a un Chaos Constitutionnel sciemment orchestre et a une “Anomie Identitaire” voulue comme telle. “Le president Nkurunziza a mis fin aux conflits ethniques auBurundi”, entedendait-on, il y a encore une annee ; “ingorane z.amoko twarazisezereye” -Nous avons dit au revoi aux conflits ethniques au Burundi-, repetait-on encore, il y a une annee, dans une certaine presse au-garde-a-vous. Pareille Anomie suivie de Deni identitaire est la resultatnte directe de la tricherie intervenue a partir d’Octobre 1999, lorsque le bras droit du President Bagaza, le Professeur Yochanan Bwejeri, fut empeche de continuer a prendre part aux Negociations d’Arusha, par une action combinee de la “diplomatie parallele” operant au sein d’Arusha et une diplomatie parallele operant en dehors d’Arusha. Ces actes imprevus et malhonnetes ont porte un immense prejudice aux populations Tutsi qui se reconnaissaient dans la ligne politique du President Bagaza a partir de la Conference d’Arusha. Toute reprise des “Negociations” sur le Burundi, a Arusha ou ailleurs, devra prendre en compte cette action nefaste de “suppression d’acquis et d’evidences” par laquelle les Actes et les Institutions issues d’Arusha ont ete circonvenues, avec les consequences directes sanglantes et genocidaires que l’on observe tragiquement depuis 2003, et particulierement depuis le lancement du programme de Genocide massif et direct contre les Juifs Tutsim par le Gouvernement CNDD-FDD-IMBONERAKURE, a partir de Janvier 2015.

16. Desillusions Totales et Testament Politique

Ces dernieres annees, le President Yochanan Bagaza, tout en ne desavouant pas ouvertement son statut de “Sénateur à Vie” lui concede par la “Constitution illegale et Illegitime d’Arusha”, était devenu extremement distant par rapport a tout ce qui se dit et se fait dans le paysage politique du Burundi. Il ne faisait plus d’apparitions au Senat ni dans les diverses coalitions artificielles orchestrees par divers acteurs “operant sur commandes”, notamment l’ADC-IKIBIRI. Il n’etait jamais apparu dans les forum controverses de CAUX en Suisse, ni dans les missions sporadiques de la soi-disant “opposition” aux USA. Sa derniere position, claire et nette sur le Burundi, est que du fait de sa determination ouverte de liquider la composante Tutsie de l’Armee, et de tuer toute la population Tutsie a travers le pays, le pouvoir Hutu s’est disqualifie de facto. Il ne peut donc pretendre a aucune legitimite a la tete du pays, et ce depuis sa toute premiere apparition en 2005, qui fut suivie de multiples atteintes gravissimes a l vie et a l’integrite de la population, et contre le Droit par la suite.

Lors de la derniere visite au Burundi du Secretaire General de l’ONU, Mr BAN KI MOON, le president Bagaza avait denonce ouvertement le programme genocidaire du gouvernement actuel Hutu consistant a exterminer systematiquement toute la jeunesse Tutsie de la Capitale et toute la population tutsie du Pays ; il avait plaide pour une action militaire intenationale musclee visant a chasser le gouvernement genocidaire Hutu du pouvoir et a proteger la population Tutsie mise en danger de mort par les soi-disant Forces de Securite appuyees par les milices genocidaire Imbonerakure. Son regard etait constamment dirige vers le monde Juif comme lieu de Rassemblement effectif, du Nil au Jourdain. D’apres le temoignage de ses proches, le President Yochanan Bagaza avait progressivement deplace ses centres d’interets intellectuels “de la Science Militaire au Talmud”, en passant par l’Economie et les Sciences Politiques. Son meilleur partenaire en matieres d’idees fondatrices des civilisations, le Professeur Yochanan Bwejeri, est affirmatif a cet egard : la derniere discussion de taille entre lui et le President, sur un theme ramene sur la table par Bagaza lui-meme, il y a un peu plus de six mois, etait centree sur l’importance du TALMUD dans le devenir de la Nation Juive, depuis 2.000 Ans. Le TALMUD (GEMARAH) etait devenu pour BAGAZA le livre le plus fascinant de tous les temps. Tout un Testament Theologique, proprement inattendu de la part du Sioniste, Laic, Yochanan Bagaza.

17. Deces et Posterite familiale

Le President Bagaza s’est eteint a Bruxelles, le 04 Mai 2016, des suites de malaises dont les causes ont ete mal identifiees. Il avait 69 ans. Il laisse derriere lui une femme, ainsi que de nombreux enfants et petits enfants.

Addendum

Compte tenu du statut de TUTSIM publiquement assume par le President Bagaza, ainsi que de son combat historique contre les structures romaines de l’Inquisition representees par l’Eglise Catholique, au nom de la Justice des Peuples, de la dignite et de l’Autodetermination du peuple Tutsim, les equipes en charge des protocoles d’adieu et de mise en terre devraient eviter de requerir les services d’un Pretre ou d.un Pasteur ; tout reflexe ou tentative de faire passer sa depouille dans une eglise devrait etre dument interdit ou a tout le moins, poliment decline. La population Juive Tutsim supporterait mal un nouveau “fait accompli” dans le genre de celui qui vit la tombe de la Reine Tutsim. Baramparaye, epouse du Roi Juif Mwambutsa Ruben Gershom (Rubangisha) qui avait rejete le bapteme et combattu l’Inquisition, gsrdee par une immense croix, une fois de plus, une fois de trop.

Compte tenu de la conjoncture fort imprevisible dans laquelle le Burundi se trouve, le meilleur lieu pour le repos du President Bagaza serait au Moshav de Rutovu, aux cotes de son pere, le grand Bicocoro. La Redaction “Rukinzo” est Presque convaincue a 100% que le visionnaire et prevoyant Bagaza n’a pas oublie de signaler ce point important aupres de son epouse, de ses aides de camp, ou dans son Testament ecrit et notarise.


Par le Groupe "Rukinzo News"

2 commentaires:

  1. Toute une biographie d'un ancien Président. Qu'il soit enterré à Rutovu, à côté de son père. c'est le plus normal. Mais ce qui démontrera la véracité de ses croyances sera le refus de service d'un représentant religieux.
    Attendons voir.

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  2. Le respect de son testament est obligatoire. Le reste n'a pas d'importance.Nous souhaitons que le peuple burundais confondu soit uni comme un seul homme dans la paix durable. Kanatsinda barayamaze bati:" AHARI ABAGABO NTIHARWA IBARA"

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