Le gouvernement burundais n'a pas voulu accueillir l'envoyé spécial de la Secrétaire générale de la Francophonie. La raison invoquée par les autorités burundaises est un agenda chargé. Mais c'est une réponse que la Francophonie juge « non satisfaisante », selon Michaëlle Jean, Secrétaire générale de la Francophonie.
L'envoyé spécial dans la région des grands lacs de la Secrétaire générale de la Francophonie devait se rendre au Burundi dès ce dimanche 13 mars jusqu'au 17 mars 2016. Finalement, Pascal Couchepin n'est pas arrivé au Burundi.
C'est à la dernière minute que le pouvoir de Bujumbura a annoncé qu'il n'est « pas disponible pour accueillir l'envoyé spécial ».
Invitée par les médias français ce dimanche, Michaëlle Jean, Secrétaire Générale de la Francophonie, a annoncé que « l'organisation portera toujours un il vigilant sur le Burundi » et qu'elle n'est « pas du tout satisfaite » du comportement qu'affiche le pouvoir de Bujumbura depuis le début de la crise : « A voir comment le pouvoir du Burundi banalise la gravité des choses, ça nous préoccupe car la situation est grave. Le nombre de réfugiés est de 300.000, des personnalités en exil, des médias en difficulté, nous ne sommes pas du tout satisfaits de la conduite des autorités face aux problèmes » ajoute la diplomate canadienne.
« Si rien ne change, le Burundi sera rayé de la liste des Etats membres de la Francophonie » menace Michaëlle Jean, Secrétaire générale de l'organisation. « Nous sommes inquiets et nous appelons à un dialogue inclusif. Nous maintiendrons cette pression, nous aurons bientôt un conseil permanent de la Francophonie, des représentants des Chefs d'Etat et du gouvernement auront aussi à accentuer sur les prochaines sanctions, selon nos textes de référence cela pourrait aller jusqu'à la suspension » expliquet-t-elle.
La mission de travail au Burundi de l'envoyé spécial dans la région des grands lacs de la Secrétaire générale de la Francophonie était centrée sur la crise qui secoue le pays et comment trouver une solution durable.
Invitée par les médias français ce dimanche, Michaëlle Jean, Secrétaire Générale de la Francophonie, a annoncé que « l'organisation portera toujours un il vigilant sur le Burundi » et qu'elle n'est « pas du tout satisfaite » du comportement qu'affiche le pouvoir de Bujumbura depuis le début de la crise : « A voir comment le pouvoir du Burundi banalise la gravité des choses, ça nous préoccupe car la situation est grave. Le nombre de réfugiés est de 300.000, des personnalités en exil, des médias en difficulté, nous ne sommes pas du tout satisfaits de la conduite des autorités face aux problèmes » ajoute la diplomate canadienne.
« Si rien ne change, le Burundi sera rayé de la liste des Etats membres de la Francophonie » menace Michaëlle Jean, Secrétaire générale de l'organisation. « Nous sommes inquiets et nous appelons à un dialogue inclusif. Nous maintiendrons cette pression, nous aurons bientôt un conseil permanent de la Francophonie, des représentants des Chefs d'Etat et du gouvernement auront aussi à accentuer sur les prochaines sanctions, selon nos textes de référence cela pourrait aller jusqu'à la suspension » expliquet-t-elle.
La mission de travail au Burundi de l'envoyé spécial dans la région des grands lacs de la Secrétaire générale de la Francophonie était centrée sur la crise qui secoue le pays et comment trouver une solution durable.
mardi, 15 mars 2016 15:25, http://www.rpa.bi/
Uwo mu damu Michael Jean si utwo twose! C'est une personne déterminée! ELLE NE CÈDE JAMAIS AUX INTIMIDATIONS! ELLE IRA JUSQU'AU BOUT!!! Elle ne va pas TERGIVERSER comme l'autre (celui qui dirigeait une délégation et dont les déclarations allaient à l'encontre de celles de l'organisation qui l'avait envoyé)! Vous savez bien de qui il s'agit, inutile d'évoquer son nom!!!
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