Le gouvernement du Burundi a annoncé "rejeter" la résolution de l'ONU adoptée vendredi à l'initiative de la France et prévoyant le déploiement de 228 policiers dans le pays, dans un communiqué reçu aujourd'hui par l'AFP.
"Le gouvernement du Burundi rejette toute disposition de la résolution en rapport avec l'envoi d'une force quelconque sur son territoire, en violation des règles élémentaires régissant la famille des Nations unies et surtout violant la souveraineté de son territoire", écrit dans ce communiqué son porte-parole Philippe Nzobonariba. Le Conseil de sécurité a voté vendredi une résolution proposée par la France et prévoyant le déploiement progressif de 228 policiers de l'ONU au Burundi, pour tenter d'y ramener le calme et de faire respecter les droits de l'Homme.
Un texte de coopération
Ce texte demandait au gouvernement burundais de "coopérer pleinement" avec la force de police onusienne. Mais son rejet par les autorités burundaises était attendu, celles-ci ayant organisé dès samedi une manifestation devant l'ambassade de France à Bujumbura pour le dénoncer. Le pouvoir burundais a même encore durci le ton dans ce dernier communiqué. Alors qu'il s'était jusque-là dit prêt à accueillir jusqu'à 50 policiers onusiens, il écarte désormais également cette éventualité.
"Cette hypothèse n'a plus de raison d'être et (est) donc à reconsidérer, car les forces de défense et de sécurité maîtrisent parfaitement la situation à l'intérieur de tout le territoire national", a justifié M. Nzobonariba. Il a en revanche précisé que les 100 observateurs et 100 experts militaires qui devaient être déployés par l'Union africaine restaient "les bienvenus". Pour l'heure, seuls 32 observateurs et 14 experts sont cependant effectivement sur le terrain.
La résolution de l'ONU prévoit que ses policiers soient envoyés à Bujumbura et dans tout le Burundi "pour une période initiale d'un an", et que leur mandat puisse être prolongé ou modifié si la situation empire.
"Le gouvernement du Burundi rejette toute disposition de la résolution en rapport avec l'envoi d'une force quelconque sur son territoire, en violation des règles élémentaires régissant la famille des Nations unies et surtout violant la souveraineté de son territoire", écrit dans ce communiqué son porte-parole Philippe Nzobonariba. Le Conseil de sécurité a voté vendredi une résolution proposée par la France et prévoyant le déploiement progressif de 228 policiers de l'ONU au Burundi, pour tenter d'y ramener le calme et de faire respecter les droits de l'Homme.
Un texte de coopération
Ce texte demandait au gouvernement burundais de "coopérer pleinement" avec la force de police onusienne. Mais son rejet par les autorités burundaises était attendu, celles-ci ayant organisé dès samedi une manifestation devant l'ambassade de France à Bujumbura pour le dénoncer. Le pouvoir burundais a même encore durci le ton dans ce dernier communiqué. Alors qu'il s'était jusque-là dit prêt à accueillir jusqu'à 50 policiers onusiens, il écarte désormais également cette éventualité.
"Cette hypothèse n'a plus de raison d'être et (est) donc à reconsidérer, car les forces de défense et de sécurité maîtrisent parfaitement la situation à l'intérieur de tout le territoire national", a justifié M. Nzobonariba. Il a en revanche précisé que les 100 observateurs et 100 experts militaires qui devaient être déployés par l'Union africaine restaient "les bienvenus". Pour l'heure, seuls 32 observateurs et 14 experts sont cependant effectivement sur le terrain.
La résolution de l'ONU prévoit que ses policiers soient envoyés à Bujumbura et dans tout le Burundi "pour une période initiale d'un an", et que leur mandat puisse être prolongé ou modifié si la situation empire.
Par lefigaro.fr avec AFP, le 03/08/2016 à 10:24
L'indépendance est une condition pour une nation, un pays, un État dans lequel les résidents et la population exercent l'autogouvernance, et habituellement une souveraineté totale sur le territoire.
RépondreSupprimerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Ind%C3%A9pendance_(politique)
Aujourd’hui au Burundi, est-ce que « les résidents et la population exercent l'autogouvernance”?
Souvenez-vous : «Uburundi ni itunga ridasumwa kandi ridashumbushwa »
Un jour viendra où tout Burundais résident au Burundi ou ailleurs va dire « Si j’avais su ».
1. Si un membre de la mouvance présidentielle meure : C’est un Burundais qui meurt
2. Si un membre de l’opposition meure : C’est un Burundais qui meurt
3. Si un policier ou un militaire meurt : C’est un Burundais qui meurt
4. Si un Hutu meurt : C’est un Burundais qui meurt
5. Si un Tutsi meurt : C’est un Burundais qui meurt
6. Si un Twa meurt : C’est un Burundais qui meurt
7. Si un Etranger Résident au Burundi meurt : C’est un ami du Burundi qui meurt
8. Si un ressortissant du Sud du Burundi meurt : C’est un Burundais qui meurt
9. Si un ressortissant du Centre du Burundi meurt : C’est un Burundais qui meurt
10. Si un ressortissant de l’Est du Burundi meurt : C’est un Burundais qui meurt
11. Si un ressortissant de l’Ouest du Burundi meurt : C’est un Burundais qui meurt
12. Si un ressortissant de Nord du Burundi meurt : C’est un Burundais qui meurt
En conclusion : « Si j’avais su. »
Il y des millions de burundais qui pensent comme toi et qui disent à voix basse ce que tu dis à voix haute! J'aimerai te voir comme CONSEILLER À LA PRÉSIDENCE mu ntwaro izokurikira. Yamara, TUZOGUSENGERA CANE kuko kenshi, les humains accèdent au pouvoir avec plus ou moins quelques bonnes intentions pour leur nation mais entre temps L'ENNEMI ATTAQUE! Il utilise de MAUVAIS CONSEILLERS et parfois même, il DÉPÊCHE quelques éléments étrangers pour SOUTENIR LES TÉNORS DU POUVOIR DANS LA MALFAISANCE! Par exemple, LE BELGE LÀ, ami de Willy NYAMITWE!
SupprimerMettons-nous à genoux et prions pour LA DELIVRANCE DU LEADERSHIP TEAM! Ce que nous voyons ne sont que les manifestations physiques de ce qui se passe DANS LE SPIRITUEL! En nous battant PHYSIQUEMENT avec toutes les armes et minutions, WE ARE ENGAGED IN A VERY WRONG BATTLE! Abo bariko bahonya Abarundi, baratewe na DAYIMONI z'ubwoko bwose! En commençant par le PRÉSIDENT-PASTEUR et tous ses acolytes. None rero, nimuze TWAME KU MAVI kugirango IMANA RUGIRAVYOSE YATUREMEYE, igirire ikigongwe igihugu IHEZE IKIROKORE! In the mighty name of JESUS I pray! Amen, Amen!