La souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale du Burundi doivent être respectées, a déclaré vendredi le représentant de Chine auprès des Nations Unies Liu Jieyi en réaction au projet des Nations Unies d'envoyer un contingent de police dans ce pays africain.
M. Liu a lancé cet appel lors d'une réunion du Conseil de sécurité durant laquelle une résolution prévoyant l'envoi d'un contingent de police des Nations Unies au Burundi a été approuvée en vue de surveiller la situation sécuritaire dans le pays.
Parmi les 15 membres du Conseil, 11 ont voté en faveur de cette résolution. La Chine, l'Angola, l'Egypte et le Venezuela se sont abstenus.
Cette résolution a autorisé le déploiement de 228 policiers au Burundi pour une période initiale d'un an, mais le gouvernement burundais a fait savoir qu'il n'accepterait que 50 agents au maximum.
M. Liu a déclaré que le déploiement d'opérations de maintien de la paix et de missions politiques spéciales ne devaient être décidés qu'au terme de consultations approfondies avec le pays concerné.
Il a ajouté que la Chine s'était abstenue car cette résolution n'invoquait pas clairement les principes des Nations Unies.
"La Chine appelle les parties concernées à considérer avec précaution l'envoi d'un contingent de police au Burundi, à consulter pleinement le gouvernement burundais et à conclure un accord au préalable", a-t-il poursuivi.
Le Burundi est plongé dans le chaos depuis avril 2015, date à laquelle le président Pierre Nkurunziza a annoncé son intention de présenter de nouveau sa candidature au poste de président pour un troisième quinquennat.
Depuis le début des troubles, plus de 500 personnes ont été tuées au Burundi et plus de 500.000 autres ont fui vers les pays voisins, à savoir la Tanzanie, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC).
M. Liu a lancé cet appel lors d'une réunion du Conseil de sécurité durant laquelle une résolution prévoyant l'envoi d'un contingent de police des Nations Unies au Burundi a été approuvée en vue de surveiller la situation sécuritaire dans le pays.
Parmi les 15 membres du Conseil, 11 ont voté en faveur de cette résolution. La Chine, l'Angola, l'Egypte et le Venezuela se sont abstenus.
Cette résolution a autorisé le déploiement de 228 policiers au Burundi pour une période initiale d'un an, mais le gouvernement burundais a fait savoir qu'il n'accepterait que 50 agents au maximum.
M. Liu a déclaré que le déploiement d'opérations de maintien de la paix et de missions politiques spéciales ne devaient être décidés qu'au terme de consultations approfondies avec le pays concerné.
Il a ajouté que la Chine s'était abstenue car cette résolution n'invoquait pas clairement les principes des Nations Unies.
"La Chine appelle les parties concernées à considérer avec précaution l'envoi d'un contingent de police au Burundi, à consulter pleinement le gouvernement burundais et à conclure un accord au préalable", a-t-il poursuivi.
Le Burundi est plongé dans le chaos depuis avril 2015, date à laquelle le président Pierre Nkurunziza a annoncé son intention de présenter de nouveau sa candidature au poste de président pour un troisième quinquennat.
Depuis le début des troubles, plus de 500 personnes ont été tuées au Burundi et plus de 500.000 autres ont fui vers les pays voisins, à savoir la Tanzanie, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC).
French.china.org.cn | le 30-07-2016
Un accord préalable avec les autorités concernées alors qu'elles sont au premier banc des pointés du doigts à ces ignobles assassinats de ses citoyens!! Quelle position chinoise ou Russe, Venezuella- Maduru huuh (lui aussi en collusion contre sa population) Angola? Egypt? Voir ce qui se passe chez eux.
RépondreSupprimerLe salut du Burundi viendra des burundais eux-même. Si la loi de tuer est en application par les autorités burundaises, voilà ce qu'on adoptera jusqu`à faire son changement. Il est honteux de voir les pays tiers faire une résolution tendant à faire reigner la loi et à sauver les vies et qu'il ait des manifestations de certains citoyens mais aussi des pays qui favorisent cette extermination d'une partie des citoyens d'un pays!! A suivre
Make no mistake at all! Amahoro mu burundi azozanwa n>Abarundi bonyene ubwabo. Tukaguma twiteze ngo abo Ba ONU, UNION AFRICAINE, etc... ngo nibo bazorokora abanyaguhugu, tuzoba twibagiye agaciro k'amarira y'Abarundi, kandi tuzovuga jusqu'a ce que ducoka, nka wamugani ngo "nk'imbwa isura mumuyaga." Ico mbona n'uko hoboneka groupe armee ikomeye, igakubita kabisa, kabisa, igakuraho Nkurumbi kunguvu, atarivo tuzoba nk'"imbwa isura mumuyaga." Nkurumbi na group yiwe bazokurwaho n'ubuhiri mugahanga, point-trait!!! kandi harageze bije mungiro aho ko abarundi bahona nk'abana b'imbeba.
RépondreSupprimer