APPEL A CONTRIBUTIONS - ARTICLES
- CONTEXTE
Notre Mère Patrie, le Burundi, traverse une crise politique, sociale, économique et sécuritaire très grave. Il est indéniable que le Burundi a besoin d’un sursaut de ses filles et fils. Ceux-ci doivent inventer des solutions urgentes pour arrêter, en particulier, les crimes de sang qui se commettent au grand jour, au vu et au su du monde entier.
Le Burundi a besoin d’une vision claire et réfléchie pour effectuer une sortie immédiate de la crise. Il a besoin de balises, dans tous les textes qui régissent la République, pour bannir à jamais un système qui se maintient au pouvoir par la terreur. Enfin, le pays a besoin de relancer une véritable démocratie basée sur les principes universels d’un Etat de droit.
De cette vision claire et bien pensée découlera, à coup sûr, une véritable vision et un plan stratégique de redressement du pays.
Pour atteindre cet objectif, les intellectuels burundais doivent s’organiser et contribuer à préparer un avenir meilleur pour les générations futures. Les intellectuels burundais représentent un important vivier de ressources humaines d'une valeur inestimable. Ils n’ont pas le droit de laisser le terrain aux politiciens, aux partis politiques et autres organisations comme les rébellions.
Cet appel est lancé à tous les intellectuels burundais qui vivent et travaillent au Burundi et à travers le monde afin qu'ils sortent de leur torpeur et de leur silence. Chacun, dans son domaine de prédilection et de compétence peut proposer des solutions aux problèmes liés à l’organisation des trois pouvoirs (Exécutif, Législatif et Judicaire), aux problèmes sécuritaires (réforme des Forces de Défense Nationale) et aux enjeux socio-économiques (crise des valeurs, malversations, sous-développement).
- NATURE DES CONTRIBUTIONS
Nous souhaitons des propositions concrètes, par écrit et sous format électronique, indiquant la voie de l’avenir du Burundi à court, moyen et long terme. Quelles sont les solutions pour assurer le retour rapide à la légalité constitutionnelle, à la paix et à la sécurité pour tous les citoyens burundais ? Comment instaurer une démocratie véritable dans le strict respect de l’Accord d’Arusha pour la Paix et la Réconciliation et de la constitution qui en est issue ? Comment arrêter les cycles de violence souvent à caractère ethnique? Comment lutter contre le sous-développement? Comment instaurer au Burundi de demain l’égalité homme femme tout en conciliant les questions « Genre » et « Excellence » ? Quelles sont les mesures politiques qu’il faudrait prendre pour que la presse burundaise soit véritablement libre et réellement indépendante ? Quel est le rôle de la diaspora burundaise à court, moyen et long terme dans la reconstruction d’un Burundi dont nous tous rêvons : uni, digne et prospère ? Comment associer les jeunes burundais dans la gestion du pays ? Comment promouvoir les valeurs de nos aïeux : honnêteté, humanisme, responsabilité, dignité et amour de la patrie? Comment renforcer la société civile au Burundi d’après la crise et comment elle s’impliquera dans la promotion des valeurs de démocratie et d’un état de droit ? Etc.
Les contributions peuvent être rédigées en français ou en anglais et ne peuvent pas dépasser 15 pages (style Arial, police taille : 11). Tous les articles doivent reprendre le nom, prénom et une biographie succincte de l’auteur + une photo récente.
- SUIVI DES RECOMMANDATIONS
Toutes les propositions seront intégrées dans un seul document (actes de la Table Ronde organisée à Anvers le 18 juin 2016) et les droits d’auteur seront scrupuleusement respectés.
- DEADLINE/INFORMATIONS
Toutes les contributions peuvent être envoyées avant le 15 août 2016. Vous souhaitez avoir des informations complémentaires ou envoyer votre contribution, une seule adresse : ntibashirakandiliberat@gmail.com.
Très intéressant, cette proposition est vraiment importante mais on voudrait savoir la suite des propositions données. sans négliger quiconque tout le monde peut donner sa pensée, claire et digne et je pense que cela a bel et bien commencé. Les rencontres de la communauté burundaise à travers le monde entier ne fait que générer toujours des propositions, les personnes qui sont regroupées au sein de différentes associations ( DBB, CNAREID, etc...) ne font que penser pour trouver des solutions. Maintenant, je pense qu'il faut agir. Alors, des burundais et Burundaises doivent désormais trouver des actions qui pourraient contraindre ces gens qui emprisonnent le pays et qui ne songent simplement à leurs intérêts. Nous devons prendre des mesures (actions) qui peuvent amener le Burundi à son statut de pays digne culturellement, socialement, économiquement et politiquement. Cela étant, la façon claire de le faire c'est de chasser Nkurunziza par tous les moyens possibles et imaginables.
RépondreSupprimerMerci
Steve Duwako.
Bonjour Steve,
SupprimerLa finalité est une plateforme de redressement du Burundi avec une vision bien pensée pour sortir de la crise, restaurer la paix et la sécurité, surtout reconstruire le Burundi. Notre démarche est la suivante: 1. Table Ronde pour poser les jalons 2. Recueillir des idées, des recommandations et des solutions auprès des intellectuels burundais (Ingénieurs, Médecins, Juristes, Politologues, Psychologues, Pédagogues, Politiciens expérimentés,etc.)3. Consolidation de toutes ces recommandations dans une conférence qui réunira des experts internationaux, des hommes et femmes politiques burundais, la société civile burundaise, les hommes et femmes des médias, les jeunes, les femmes, etc. 4.Soumettre les conclusions aux partenaires du Burundi.
Le pays va très mal, beaucoup de burundais souffrent, les jeunes sont sans avenir, etc. Devant ce tableau très sombre, nous devons agir comme vous le dites si bien mais méthodiquement, élaborer un projet de redressement du Burundi en paroles et en actes. Nous avons le devoir moral d'aider le Burundi et les Barundi de sortir de la situation d'aujourd'hui. Pour cela, il faut de nouvelles idées. A vos plus donc.
Monsieur le professeur, sans toutefois vous manquer du respect votre appel à contributions est erroné. J’ose penser que vous avez déjà les propositions venant de ceux que vous appelez intellectuels et vous voulez juste un cadre élargi ou plus au mois acceptable pour la publication .
SupprimerMonsieur le professeur, admettez-vous qu’il y a des intellectuels qui n’adherent pas à votre manière de définir la crise actuelle au Burundi ? comment voulez-vous qu’on puisse contribuer alors vous nous imposez déjà la façon de réfléchir et d’analyser la crise actuelle. Et les propositions en question à qui allons-nous les envoyer ? vous n'avez pas pris la peine de nous presenter ce comité qui va se charger de la réception, et si ce comité existe, est-il impartial ? en plus comment voulez-vous qu’on puisse avoir confiance à un comité fantôme et imposer par votre volonté ? le mieux serait de laisser les gens publier leurs contributions sur un site web et laisse le soin à tous les Burundais d’en juger le contenu, bien sûr si vous voulez la transparence et la diversité dans les propositions. Sinon, je suis sûr et certains que vous, professeur et votre comité fantome, vont nous sortit un livre rempli de vos rêves et imaginations au nom des intellectuels burundais.
Mon appel n'est pas erroné, car il fait suite à une table ronde. Justement, mon souhait n'est pas que vous adhériez à ma façon de voir la crise, si non les articles n'auraient pas de sens. Je souhaite la diversité des idées constructives. Le rôle du comité sera de relire et corriger les textes. Chaque auteur connaîtra les 2 membres du comité qui reliront son texte. C'est une procédure classique bien connue. Mais ceux qui souhaitent publier leurs articles sur le web n'ont pas attendu mon appel, ils le font déjà. Ici c'est une autre démarche. Non, les articles seront bien signés par les auteurs. En aucun cas, je m'approprierai le contenu des articles des autres. Je ne suis que facilitateur dans le prolongement de la Table Ronde.
SupprimerMr. le Professeur Ntibashirakandi Libérât,
RépondreSupprimerNous vous remercions pour cet appel à contributions et qui est déjà une contribution très louable de votre part :
1. Comme vous le dites le Burundi est notre chère patrie
2. Tout Burundais devrait se sentir responsable de la protection de notre nation, sa survie, son développement et son avenir. Pour cela, nous devons protéger jalousement notre petit et beau pays [paradis] contre toute forme de sa déstabilisation.
3. Je voudrais demander que les contribuables mettent un accent particulier sur les causes profondes des conflits qui ont endeuillé notre pays. Comme cela nous espérons trouver le vrai remède pour sortir à jamais de ce mal burundais.
Merci et Courage !
Mr. le Professeur Ntibashirakandi Liberat,
SupprimerMoi aussi j'admire votre initiative. Mais je dois aussi vous dire que nous avons travaillé intellectuellement et socialement depuis l'année passée et même avant pour essayer d'arrêter la barbarie politique dans notre pays. Aujourd'hui, bien qu'il y a différentes expressions et quelques fois divergentes interprétations, personne n'ignore les causes profondes de cette crise. On peut y retourner éternellement. Et même il faut que ça soit bien inscrit dans la chronique de notre peuple. Cependant, ce qui nous manque et qui est essentiel, c'est de faire un pas décisif vers la conquête d'un bon avenir par rapport au problème réel qui se pose.
Quel est le vrai problème? C'est que l'égoïsme et la jalousie ont pris place dans le coeur des enfants du Burundi. S'en est suivi l'audace de tuer sans pitié.
Comment guérir de ce mal? Toute personne qui se sent appelé à contribuer pour le salut du peuple Burundais devrait d'abord se convertir sincèrement par rapport à ces trois aspects et faire un voeu intérieur: 1.Je m'engage à appliquer la générosité et plus particulièrement envers mon compatriote; 2. Je m'engage à éviter toute attitude qui dénigre mon compatriote et renonce aussi à toute aspiration et recherche à être considéré meilleur que mon compatriote; 3.Je m'engage à ne jamais souhaiter du mal à un compatriote,à renoncer à mes plaisirs et honneurs personnels, et à sacrifier mon avoir et mon être pour l'honneur et la joie de mon peuple aujourd'hui et dans les temps à venir.
Ensuite, il y a l'obstacle majeur qu'il faut briser à tout prix: le pouvoir maléfique actuel. Il y a eu beaucoup de tentatives. Et chacun se dit avoir lutté ou vouloir proposer une solution. Mais il d'abord bien identifier où se trouve les forces de l'arbre à abattre: 1. Ils ont détruit l'âme du peuple par la division; 2. Ils se maintiennent au pouvoir par la force des armes. Les autres choses comme les paroles, discours, accusations et etc, sont des éléments accessoires. En tant que patriotes si nous voulons le changement, il faut d'abord bannir la division entre nous, et travailler pour l'union de volonté et de force de tous les compatriotes. On ne dois plus se complaire à dire: attention, celui-là n'est pas avec nous! mais s'il est burundais comme toi, cherche à gagner son coeur pour la même cause, sinon tu dois arriver à bien contrôler ses aspirations pour protéger l'ensemble. Ensuite il faut renforcer l'union des forces dont nous disposons de toute part, pour constituer une force capable de dominer et maîtriser ce pouvoir que nous voulons chasser. C'est là alors qu'il faut investir nos efforts de penser et de dispositions matérielles. Sinon nous nous croirons toujours intellectuels avec de beaux discours, et nous n'échapperons pas à mourir sans jamais édifier l'honneur de notre patrie. Bref, si tu es rapidement pratique, invite à des rencontres de cohésion et d'unification des patriotes; ensuite, ouvre un compte et donne la garantie que ce sera pour l'ensemble et pas pour une partie! merci
Bonjour,
SupprimerJe pense que les causes sont bien connues, il y a beaucoup d'écrits là-dessus. Même à Arusha 1, les causes ont été évoquées. Il est vrai que la situation n'est plus la même, ni le contexte. Les articles devraient plutôt proposer des solutions, de nouvelles idées pour les Burundais enterrent une fois toute les violences comme mode de se maintenir au pouvoir, le non respect des droits de l'homme notamment le droit à la vie. Il faut que le Burundi soit un véritable état de droit en paroles et en actes. Mais comment y arriver? Comment instaurer une paix durable et une sécurité pour tous? Comment lutter contre la pauvreté? Comment rétablir la légalité constitutionnelle? Quel est le projet d'avenir des jeunes? Comment créer assez d'emplois? Comment instaurer au Burundi un enseignement de qualité? Question des soins de santé? Etc. Aux experts dans les différents domaines de nous proposer des idées innovatrices.
Merci Monsieur Libérât pour votre contribution,mais je reste inquiet sur la prise en compte des contribution qui n'épouse pas votre sensibilité politique surtout que vous personnalisez l'action avec un manque de transparence totale. Sans prétention de malhonnêteté intellectuelle,Indiquez un site ou seront postées les contributions.
RépondreSupprimerLes contributions ne seront pas publiées sur un site web mais éditées sous forme de fascule. La démarche est purement académique dans le strict respect des droits d'auteur. Bien, on acceptera des insultes et on fera très attention à la qualité des contenus.
SupprimerCher Professeur Libérât,
RépondreSupprimerVotre idée est géniale, mais, comme mon prédécesseur le dit, il faut d'abord créer cette plateforme qui garantit la neutralité politique et l'émergence des idées réellement des intellectuels indépendants des tendances politiques, par exemple dans votre note vous évoquez déjà le strict respect de l'Accord d'Arusha qui est très grand point de discorde politique actuel. Proposons des plans de développement économique, des plan d'amélioration de la santé de la population, de la qualité de l'enseignement à tous les niveau, etc ... parlons de la politique seulement pour montrer qu'elle hypothèque souvent la réussite de la mise en œuvre de ces plan.
Développons ce mouvement d'intellectuels indépendant des tendances politiques et petit à petit le politiciens viendront vers nous pour nous aider à mettre en œuvres nos plan de développement proposés.
BENEDATA DUKUNDA UBURUNDI KOMUSHIRIMBEREA ABO MWATANZE INTELLECTUELS ABATARIBO KANDI MUZIKO BABITEWE NABAMWE MURI MWEBWE,IKIBANZA CHABO KIRIHE?MWEGERANYE IVYIYUMVIRO BATEREYE,MUBIGANIRO BIBERÀ MUBURUNDI.MURAKOZE.
RépondreSupprimerMerci Libérat pour tant d'efforts que tu continues toujours de déployer pour des solutions possibles face aux malheurs du monde qui ont pris place dans notre chère patrie.
SupprimerEn tant qu'ami que tu auras l'occasion de reconnaitre un jour, je te suggère deux idées qui peuvent être considérées comme des question en même tant comme des recommandations:
1. Mbega mu Burundi, abashingantahe bagiye hehe? Kugira ngo igihugu kiyogere abantu barorerera aho bari, haba mu gihugu haba mu mahanga? Ubwo mvuze abashingantahe kuko abize bose kuva bavyihaye, canke bavyitiriwe bitwa ngo ni abashingantahe. Intahe ni igarukirwe. Atari uko ni bakureho izina umushingantahe mu Burundi. Abo bicwa, bahekurwa, ntibari babafise mu nzego zose z'igihugu, mu Burundi bwose?
2. La mission que tu nous proposes étant la plus noble, est-il possible d'envisager un programme de descente sur le terrain afin de pouvoir vivre certaines réalités actuelles et se rendre compte de certaines vérités à la source, lesquelles nous permettraient de jetter des bases solides pour nos projets du Burundi de demain?
Merci, nous marcherons avec toi dans le même chemin.
BENEDATA DUKUNDA UBURUNDI KOMUSHIRIMBEREA ABO MWATANZE INTELLECTUELS ABATARIBO KANDI MUZIKO BABITEWE NABAMWE MURI MWEBWE,IKIBANZA CHABO KIRIHE?MWEGERANYE IVYIYUMVIRO BATEREYE,MUBIGANIRO BIBERÀ MUBURUNDI.MURAKOZE.
RépondreSupprimerPascal Maboko,
SupprimerNi vyakenerwa, ivyiyumviro birashe tuzobishira mu kirundi.
MURANTUNGA,ABO MWITA INTELLECTUELS.
RépondreSupprimerMerci de votre contribution Mr. le Professeur. Votre idée est génial quand au fond du sujet en question: la paix durable au Burundi. Cependant, la forme doit être améliorer. D'abord, vous avez vos convinctions politiques qui ne sont pas necessairement les notres, même s'il peut y avoir de points communs. Par exemple, vous parlez du respect des Accords d'Arusha, alors que moi personnellement et d'autres collègues n'acceptent pas du tout la division des Burundais en quotas ethniques dans la Constitution du Burundi. Ensuite, vous parlez de rechercher des solutions en dehors, entre autres, des rebellions; alors que face à la barbarie actuelle du CNDD-FDD, la lutte politico-militaire peut-être une solution.
RépondreSupprimerDonc, j'aimerai que vous proposez un cadre de travail neutre où chaque contributeur ne serait limité par les idées des autres. Et, je soutiens l'idée qu'il vous faut créer un site internet ou vous publierez les differentes contributions et qu'il y ait si vous voulez un débat public sur le net. Ceci n'empêche pas que vous redigez les solutions dans un livre mais le site sera une sorte de garde-fou pour ne pas favoriser telle ou telle idée politique. Bref, le cas de la paix du Burundi est une question de tous les Barundais et il faur privilégier la transparence totale si vous voulez des solutions praticables. Pour cela, il faut que le public fasse parti du comité chargé de conclure sur les solutions "finales" d-une paix durable.
Je propose que vous collaborez avec le site www.bujumbura.be et qu'il vous crée une fenêtre où toutes les contributions seront publiées, et ceci permettre au public contribuer à la redaction de votre livre.
Bien, on voit que les Burundais commencent à réagir, c'est une bonne chose. cependant, il y a déjà un an que la crise a commencé, j'ai toujours suivi sur les réseaux sociaux les réactions de nos compatriotes. Beaucoup de propositions ont été données mais il a fallu peut être les mettre en commun pour en tirer les meilleures. M. Libérat vient de proposer son idée de confectionner un livre de ces propositions. Les Burundais vont réagr selon leurs tendances mais l'important est que ces idées soient sur un site et que tout le monde en fait soi. Que les critiques, les bonnes et les mauvaises propositions y apparaissent et par la méthode d'entonnoir, les meilleures solutions vont certaines se distinguer. Il sied néanmoins de signaler que je ne partage pas l'idée des intellectuels seulement car nous savons tous que le Burundi est arrivé là où il est maintenant avec ces intellectuels!Laissons la parole à toutes les filles et les fils de ce pays pour s'exprimer. Je souhaite même que les propositions des autres amis ou non du Burundi soient les bienvenues.
RépondreSupprimerChers compatriotes,
RépondreSupprimerJe me permets de faire une mise au point sur les points qui reviennent souvent. L'appel fait suite à la Table Ronde organisée dans un cadre purement académique. Les modératrices étaient choisies car elles étaient neutres. Les articles qui seront soumis ne seront pas les miens, ils appartiendront aux auteurs, le droit d'auteur oblige. Ils seront publiés avec bien sûr avec leur accord. Nous ne pouvons non plus publier des documents qui contiennent des erreurs ou des insultes des personnalités. C'est la raison pour laquelle il y aura un comité qui relira et corrigera les textes qui seront soumis. Les corrections seront soumises à l'auteur avant la publication. Pour question de neutralité, les articles seront publiés sous forme d'un livre dont les auteurs seront ceux qui auront écrit les textes. Les sites naissent et disparaissent, donc je privilégie la publication papier. Nous évaluerons en fonction de la production la nécessité de créer un site neutre dédié pour cela. La politique et l'économie sont liées, un intellectuel par définition est celui ou celle qui se mêle des affaires qui ne le regarde pas. Donc, brisons ce tabou de fuir la politique. La démocratie et la bonne gouvernance font partie du développement, je dirai même un préalable comme la paix et la sécurité. Donc, je proposerais plutôt de rester ouvert à tous les thèmes. Toutes les questions peuvent être abordées dans le strict respect de tolérance, de respect de l'autre, esprit constructif car l'objectif est de lancer des idées qui pourraient nous acheminer vers un Burundi uni, digne et prospère. Plus transparente que les écrits signés ou des débats dans une table ronde, je n'en vois pas! Soyons positifs et constructifs, il est impossible de satisfaire des souhaits des uns ou des autres, surtout des anonymes. Bref, cette initiative rentre dans un cadre purement académique et les règles en la matière seront respectées, cela ne dépend seulement de moi mais de vous aussi. J'ai bien le risque de lancer cette initiative, merci donc de faciliter la tâche et surtout répondez massivement. A vos plumes donc! Merci aussi de m'écrire en privé par e-mail. Bonne compréhension.
Courgae Professeur, c'est une idee tres louable.
RépondreSupprimerJe continuerai a prier pour que cette idee emerge, j'espere que tu es chretien, car si votre idee n'est pas inspiree de l'amour de Dieu et des Barundi, cela ne marchera jamais.
Jesus dit cette parabole(Luc 6:39): Un aveugle peut-il conduire un aveugle? Ne tomberont-ils pas tous deux dans une fosse?
Tous les politiciens sont les aveugles du mensonges et du pouvoir. Seuls les intellectuels bien intentionnes et honnetes peuvent sauver le Burundi. Mais tu ne dois pas les limiter dans leurs idees: Arusha, democraties, experts internationaux. Tout cela ne sont pas la parole de Dieu. Le Burundi a besoin d'une solution burundaise et non etrangere.
Courage, nous allons contribuer mais l'urgence est un cesser-le feu et une transition et enfin appeler ces intellectuels au Burundi pour un dialogue national des intellectuels Barundi ou n'importe qui qui aura une solution ecrite l'exposera au cours d'une retraite d'une semaine. A la fin, les solutions convainquantes seront retenues, et une strategie de prise du pouvoir par des intellectuels sera elaboree.