Les activités tournent au ralenti au campus universitaire de Kiriri à Bujumbura. Chacun puise la quantité dont il a besoin dans les ruisseaux des environs en attendant d’être approvisionné par un camion citerne de la police. Les étudiants logés dans le campus demandent de l’aide d’urgence avant qu’ils ne soient attaqués par les maladies des mains salles.
A 10h 00’ de ce mercredi, le camion-citerne apparait pour la deuxième fois au campus kiriri. Sur des rangées, les étudiants en possession de sceaux et de petits bidons viennent s’approvisionner en eau apportée par ce camion qui vient à leur secours.
Cela va faire une semaine que le campus connait un problème sérieux de manque d’eau. Si le camion parvient à amener de l’eau pour un tour, c’est pour servir la cuisine. Un manque de propreté aussi du coté des homes universitaires qui touchent surtout les latrines. Un danger qui guette les universitaires qui se comptent à plus de milles si du moins on en croit leur représentant Augustin NTAKIRUTIMANA.
Cette pénurie d’eau ne facilite pas la tâche aux filles du campus qui ont du mal à atteindre les autres endroits d’approvisionnement hors du campus : elles doivent parcourir des montagnes et passer des heures à la recherche de l’eau potable.
Le même problème s’observe du coté de la cuisine. Mais là, la situation semble être maitrisée grâce au secours de ce camion citerne.Le responsable du campus kiriri n’a pas voulu s’exprimer à ce sujet.
Le directeur de l’eau à la Regideso fait savoir qu’ils sont au courant de cette situation et qu’ils sont à l’œuvre pour pouvoir résoudre ce problème.
A 10h 00’ de ce mercredi, le camion-citerne apparait pour la deuxième fois au campus kiriri. Sur des rangées, les étudiants en possession de sceaux et de petits bidons viennent s’approvisionner en eau apportée par ce camion qui vient à leur secours.
Cela va faire une semaine que le campus connait un problème sérieux de manque d’eau. Si le camion parvient à amener de l’eau pour un tour, c’est pour servir la cuisine. Un manque de propreté aussi du coté des homes universitaires qui touchent surtout les latrines. Un danger qui guette les universitaires qui se comptent à plus de milles si du moins on en croit leur représentant Augustin NTAKIRUTIMANA.
Cette pénurie d’eau ne facilite pas la tâche aux filles du campus qui ont du mal à atteindre les autres endroits d’approvisionnement hors du campus : elles doivent parcourir des montagnes et passer des heures à la recherche de l’eau potable.
Le même problème s’observe du coté de la cuisine. Mais là, la situation semble être maitrisée grâce au secours de ce camion citerne.Le responsable du campus kiriri n’a pas voulu s’exprimer à ce sujet.
Le directeur de l’eau à la Regideso fait savoir qu’ils sont au courant de cette situation et qu’ils sont à l’œuvre pour pouvoir résoudre ce problème.
Isanganiro , mercredi 11 mai 2016 à 16 : 39 : 03
Comment une institution telle que l,université peut souffrir d'une si grave pénurie d'eau pendant toute une semaine? Et si la Regideso démissionnait!
RépondreSupprimerComment lutter à la fois avec l'académique et la recherche d'H20?