lundi 4 juillet 2016

BAMVUGINYUVIRA Fréderic forcé de changer les termes de sa démission

En date du 30 juin 2016, l’ancien vice-président sous BUYOYA a présenté officiellement sa démission au président du CNARED. Il avait pris le soin d’en informer notre point focal au sein de cette plateforme politique en exil pour nous avertir.

Notre agence a donc été le premier à diffuser cette information. Ce fut un choc dans la sphère politique burundaise. Certain croyait même à un canular.

Le lendemain matin, un proche de BAMVUGIYUMVIRA a contacté notre rédaction pour redéfinir les termes de sa démission. Les raisons invoquées étaient que le trio à la tête du CNARED aurait menacé l’ancien dignitaire et lui a demandé de changer les termes de son retrait.

Suite donc aux menaces, l’ancien commissaire en charge de l’action politique au sein du CNARED a réajusté sa déclaration après 48 heures en disant qu’il n’a pas quitté le CNARED et qu’il a seulement démissionné de son poste de commissaire. Le président du FRODEBU a aussi contribué à cette pression.

Dans l’entre temps nous apprenons que d’ici peu plusieurs autres formations politiques vont quitter ce navire qui prend l’eau à une cadence réciproque à l’arrogance de leaders de cette coalition.

INGOTUYAGE Gloria (Agence BUJUMBURA News)

3 commentaires:

  1. Le CNARED ne peut pas pretendre gagner ce combat avec un commandement de paille meme si les troupes sont suffisamment determinees et engagees . Apparemment le CNARED compte dans ses rangs des elements qui ont la mission de l'empecher a avancer et le contraindre a faire une marche sur place a defaut de marcher a reculons . Et tant qu'il n'a pas encore nettoyer dans ses rangs tous ces opportunistes qui croient seulement a leurs ventres toujours ouverts il aura toujours difficile de convncre les millionsde burundais qui se sont leves pour decrier le criminel nkurumbi et sa cohorte .
    Mais ce que Minani et busokoza doivent savoir est que la revolution en marche au Burundi ne peut pas s'arreter et s'ils ne changet pas rapidement de position notamment en renoncant a ces atermoiements ils prennent le risque d'etre balayes aec tous ces malpropres qui se dressent sur le chemin de la victoire
    Est-ce ils prennent au moins le courage de se rappeler la quantite du sang verse et surtout des jeunes pour arracher des griffes de nkurumbi la destinee du pays
    Un conseil d'ami a tous ces epaves politiques qui pour refuser de mourir politiquement viennent se cacher au CNARED au lieu d'assumer les responsabilites qu sont les leurs , eclipsez-vous et liberer l'espace politique que vous avez depuis longtemps confisque sans faire sortir le Burundi de la gehenne dans laquelle il a ete deliberement precipite par des hommes sans foi ni loi . SVP notez que le Burundi compte encore des filles et fils capables de sacrifices pour sauver ce qui peut encore l'etre . Et vous en attendant que la justice etablisse vos responsabilites entieres dans la crise je vous recommande d'observer un profil bas qui pourra vous permettre de tirer proit d'une eventuelle circonstance attenuante .
    Aujourd'hui le Burundi a besoin d'hommes engages et non des boufons du calibre de Tout autre pour amuser la galerie l'equivalent de Francois NGEZE a l'Uprona au moins lui il est parvenu a succeder a Ndadye pendant seulement une nuit ou de Nikobamye Gaetan sous Micombero . Des hommes du genre n'ont plus de place dans la lutte pour la rehabilitation et la restauration de la Republique .

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  2. Bonjour, CNARED n'est autre qu'un regroupement des criminels et bandits de grand chemin de la même génération qui veulent se cramponnent au pouvoir pour camoufler leur crime. De plus, au sein de cette plate forme, vous constaterez qu'il n'y a pas des jeunes alors que les jeunes sont les plus menacés au pays.

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  3. J'en ai marre avec ce maudit CNARED qui ne parvient pas du tout à organiser ses membres. Il vaut mieux quitter l'espace occidental pour aller s'installer là ouu il fait beau vivre, c'est au Burundi car dit-on, IGITO GITABWA IWABO. Il pourrons alors demander pardon aux burundais à travers la CVR et la CNDI.

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