mardi 14 juin 2016

Le MORENA présente au président du parlement européen sa vision sur les prochaines négociations

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6 commentaires:

  1. Mr Isidore, 50% pourraient représenter votre communauté éthnique dans toutes les institutions de la REPUBLIQUE DU BURUNDI, seulement,je souhaiterais vous inviter à patienter, à perseverer, à devenir prudent, à ne pas avoir peur de l'histoire de votre pays,à vous laisser inspirer de son profond et richissime contenue,à tenter d'incarner un peu de réalisme. Courage Mr Isidore!

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  2. Bravo Mr Isidore! Il faut que les tusti aient 50% dans toutes les institutions du Burundi.

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  3. Oh MORENA, au moins un esprit authentiquement tutsi! Que les tutsi qui ont été nyakurisés ou qui se laissent aveuglement nyakuriser comprennent! Au cas où ils refuseraient de comprendre, qu'ils sachent que leur agir risque d'envenimer cette géniale vision de MORENA.

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    1. Encore vouloir édifier une nation sur des principes divisionnistes à telle ampleur, quelle horreur! Maître Isidore, je suis désolé; tu lève la voix pour ne défendre que le côté tutsi, et tu fais fis de tous ces milliers de burundais hutu qui sont en train de souffrir même plus que les tutsi si tu permets qu'on voit les choses dans leur dimensions réelles comme tu proposes ce pourcentage! Et voilà comment des erreurs se commettent à haute voix et au grand jour! Et je ne vois pas exactement où tu veux mettre toute cette partie des enfants aussi du Burundi qui ne savent ou ne veulent pas porter encore l'étiquette de haine et d'exclusion fondée sur des histoires de physionomies qui ne nous avantage en rien! Si c'est comme ça je te compte parmi ceux qui veulent mettre en avant le nez et autres choses au lieu de considérer plus le coeur et la sagesse pour un vrai leadership de notre pays. Franchement je ne te connais pas encore. Mais je m'indigne devant ta doléance, sans toute fois demander qu'elle soit écarter. Mais je voudrais t'inviter à méditer encore ce qui peut faire le bien dans notre pays. Et si vous voulez nourrir la haine, elle vous détruira vous-même, parce que ceux qui défendent la dignité et le bonheur pour tous resteront dans l'unité fondamentale même après la mort!
      Bref, vous ne prenez pas la gravité de la situation en entierté, et vous sollicitez ce dont vous ne savez pas les conséquences. C'est comme ça qu'on a toujours dupé les tutsi d'un coté et les hutu de l'autres. Et voilà qu'il est maintenant difficile de former un équilibre pacifique. Tu n'auras pas la paix parce qu'on aura donné le pouvoir aux tutsi. Ils l'ont eu depuis longtemps. Tu n'aura pas la paix par un fait simple d'avoir des hutu qui partagent le pouvoir avec des tutsi. C'est comme ça aujourd'hui, mais ça n'empêche pas que le pays sombre! Il faut donc penser et penser encore. Les anciennes bases ne peuvent plus tenir pour ce que nous souhaitons dans l'avenir. Penses profondément à ce mot prophétique d'une Burundaise que tu connais bien je penses: "Seul l'amour nous mènera au bonheur!" (Urukundo ruzotsinda!) Que tu le comprennes à temps ou pas, la vocation du peuple burundais est au delà des partages de pouvoir. Les burundais sont appelés à être un seul peuple, et pas une foule en deux ou plusieurs parties en lutte fratricides répétitives! Je t'invite donc à amener prochainement une autre proposition plus raisonnable. Et merci pour le courage que tu pourras y engager!

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  4. Vous êtes avocat et vous ne savez pas plaider pour la vérité? La vraie vérité est que les tutsis représentent 14% de la population burundaise. Il faut qu'ils reçoivent ce même pourcentage y compris dans l'armée, la police et même dans magistrature. Le contraire serait injustice contre les autres groupes ethniques et communautés qui vivent au Burundi. Notez quetous ceux qui ont la nationalité burundaise ont droit à ce gateau national. Plaider pour un 50% pour un groupe représentant 14% ou 85% n'est que pure injustice envers ce groupe et envers d'autres.

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  5. Arrêtez de tirer sur cette approche que Maître Isidore propose; c'est une proposition qui peut faire son chemin. Moi je la comprends, seulement si elle est renforcée par d'autres mécanismes visant à:
    1) améliorer la gouvernance du pays pour un développement durable, avec des chartes appuyées par des lois sur les bonnes pratiques de la transparence notamment;
    2) réformer l'appareil judiciaire et renforcer la séparation des trois pouvoirs pour que la Justice soit réellement indépendante;
    3) mettre en place des Lois de Protection des Minorités (ethniques...) et que cette loi prévoit des circonstances de véto ou sonnette d'alarme qui doit être respecté (e) par tous sans condition;
    4)la suprématie du civil sur le militaire (et le policier), favorisant davantage le caractère apolitique des institutions de sécurité et de défense;
    5) relever le système éducatif en faillite, à tous les niveaux;
    6) la compétence avant tout, dans les secteurs public et privé.
    Voilà quelques éléments en renforcement de cette approche de Maître Isidore. Il y a d'autres éléments, chacun (e) peut en donner. C'est pour souligner que l'approche renforcée peut être envisagée. A tous d'y réflechir, avant de l'écarter. La situation actuelle du Burundi mérite d'être analyser avec recul, sans émotion et avec intelligence créative pour trouver une solution durable. Réflechissons et essayons d'apporter des solutions et non des insultes!

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