Le colonel SIMBADUKU Pascal (ici de dos) avec une personne qu'il venait de ligoter dans son bar. |
Au courant de la semaine écoulée, le Colonel SIMBANDUKU Pascal a atterrie à Londres suite à une expulsion par les services de renseignement rwandais.
Ce colonel est connu pour avoir organisé tous les crimes sous le régime du major BUYOYA Pierre et particulièrement l'assassinat du président NDADAYE Melchior.
Le Rwanda l'accuse d'organiser une rébellion contre le Burundi avec son neveu le Lieutenant-Colonel NSHIMIRIMANA Édouard un des leaders du FOREBU.
Cette expulsion est aussi une aubaine pour ce colonel qui a demandé l'asile politique au Royaume Unie. En effet, il vivait déjà dans des conditions déplorables à Kigali où il partageait un petit appartement de deux pièces (une chambre et un salon) avec deux autres anciens dignitaires à savoir NDUWAYO Antoine et TURIMUCI. Ce trio passait son temps à jouer aux cartes et à "URUBUGUZO" en attendant les fonds venus de la diaspora pour financer la rébellion. Ces fonds étaient plutôt destinés à leur abreuvoir plutôt qu'à la lutte contre le régime de Bujumbura.
Ce colonel n'est pas le seul à chercher maintenant l’asile dans les pays occidentaux. Les politiciens dites de l'opposition radical sont entassés dans des maisons en Belgique et au Canada et ne sont pas mieux lotis que ceux de Kigali. C'est vraiment pitoyable quand vous les rencontraient dans les rues de Bruxelles ou de Liège. Vivement que la situation se normalise dans notre pays pour que ces anciens "honorables" puissent rentrer au pays.
Quand au Colonel SIMBADUKU Pascal, c'est une aubaine pour ceux qui désirent porter plainte contre les crimes qu'il a commis au Burundi. La rédaction de BUJUMBURA News va mettre à la disposition de toute personne le désirant, des informations allant dans le sens de rendre justice à ses victimes.
Le Rwanda est entrain de se débarrasser petit à petit des burundais gênants afin de normaliser les relations avec le Burundi. Nous apprenons également que les services de renseignements rwandais prévoient d'interdire les émissions de la RPA et de INZAMBA qui sont diffusées sur son territoire. Certains journalistes ont déjà quitté le Rwanda pour un asil doré en occidents apprend on d'une source à Kigali.
Ce colonel est connu pour avoir organisé tous les crimes sous le régime du major BUYOYA Pierre et particulièrement l'assassinat du président NDADAYE Melchior.
Le Rwanda l'accuse d'organiser une rébellion contre le Burundi avec son neveu le Lieutenant-Colonel NSHIMIRIMANA Édouard un des leaders du FOREBU.
Cette expulsion est aussi une aubaine pour ce colonel qui a demandé l'asile politique au Royaume Unie. En effet, il vivait déjà dans des conditions déplorables à Kigali où il partageait un petit appartement de deux pièces (une chambre et un salon) avec deux autres anciens dignitaires à savoir NDUWAYO Antoine et TURIMUCI. Ce trio passait son temps à jouer aux cartes et à "URUBUGUZO" en attendant les fonds venus de la diaspora pour financer la rébellion. Ces fonds étaient plutôt destinés à leur abreuvoir plutôt qu'à la lutte contre le régime de Bujumbura.
Ce colonel n'est pas le seul à chercher maintenant l’asile dans les pays occidentaux. Les politiciens dites de l'opposition radical sont entassés dans des maisons en Belgique et au Canada et ne sont pas mieux lotis que ceux de Kigali. C'est vraiment pitoyable quand vous les rencontraient dans les rues de Bruxelles ou de Liège. Vivement que la situation se normalise dans notre pays pour que ces anciens "honorables" puissent rentrer au pays.
Quand au Colonel SIMBADUKU Pascal, c'est une aubaine pour ceux qui désirent porter plainte contre les crimes qu'il a commis au Burundi. La rédaction de BUJUMBURA News va mettre à la disposition de toute personne le désirant, des informations allant dans le sens de rendre justice à ses victimes.
Le Rwanda est entrain de se débarrasser petit à petit des burundais gênants afin de normaliser les relations avec le Burundi. Nous apprenons également que les services de renseignements rwandais prévoient d'interdire les émissions de la RPA et de INZAMBA qui sont diffusées sur son territoire. Certains journalistes ont déjà quitté le Rwanda pour un asil doré en occidents apprend on d'une source à Kigali.
SHAKISHA Théopiste
A l'attention de Ciramunda
RépondreSupprimerCiramunda ahembwa menshi kugira yibagire son oncle Docteur Oswald Ciramunda décimé avec sa famille, son grand père Ciramunda dont il porte le nom, brülé vif à Mbuye, muguha les propageurs de la haine, les artisans du genocide des tutsi no muguha espace la documentation de Nkurunziza. Mr Ciramunda, ton oncle Oswald et son grand pere te regardent à partir de l'audelà mais malheuereusement ne peuvent communiquer avec toi. Dors et reflechis y.
Peut être que la nuit porte conseil
Mes salutations les meilleurs
Ton amis de l'enfance
Je me demande si réellement cette personne connait Monsieur CIRAMUNDA Richard. Richard n'a aucun lien de parenté avec Feu Oswald. Les burundais sont passé maitre dans l'art de dire à tout le monde ngo "Urya ndamuzi, ... urya turamuzi ..." mais en réalité c'est tout à fait le contraire.
SupprimerCe commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerJe suis désolé que vous ayez supprimé ce commentaire. Je l'avais déjà lu, mais j'aimerais dire à son auteur, qu'il ne sert à rien de menacer Ciramunda et traiter de Bujumbura news de Crachoir de Jacques Bigirimana.
SupprimerJ'aimerais dire à mon compatriote menaçant, que les relations des États se fondent sur leurs intérêts reciproques. De plus en plus Nkurunziza deviendra indéboulonnable, plus le Rwanda ou la Belgique laisseront tomber l'opposition. Aucun pays ne peut se permettre de sacrifier ses intérêts pour soutenir ceux des individus perdants. Malheureusement, c`est ça la politique. Donc soit réaliste, mon cher patriote violent.
Monsieur Anonyme, je crois bien que vous avez de bons arguments, quelque part tes argument en relations internationales ressemblent à ceux de Nkurikiye porte parole de la police, qui dit que la police ne peut pas enquêter sur une quelconque disparition forcée aussi longtemps qu'il n'y a personne qui porte plainte, il cherche pas á savoir pourquoi ceux qui perdent leurs ne porte pas plainte,
SupprimerRevenons sur ton intervention, veuillez gentiment me dire quel interêt le Rwanda pour t-il envisager avec un gouvernement qui renie le genocide, qui recrute dans les rangs de la police des FDRL.
est-ce les rwandais sont aussi bête comme tu le penses
Ce SHAKISHA Théopiste yandika ukuntu GUTEYE AMAKENGA! Naho yovuga ibintu vyoba ari vyo, avyandika UKUNTU KUBISHE CANE kurimwo ISHAVU RIDASANZWE! L'on pourrait bien dire QU'À DÉFAUT DE MORDRE SA VICTIME AVEC SES DENTS OU A LA DÉCHIQUETER AVEC SES GRIFFES, il utilise SA PLUME! À ce rédacteur de cet article, je dirai que URWANKO RUMEZE UKU NIRWO RUGEJEJE U BURUNDI AHO UMWANSI ASHAKA!!! D'après ce que je vois, TON ESPRIT DE VENGEANCE te rend MAL EN POINT pour pouvoir JUGER LES AUTRES!!! Cherche d'abord DÉLIVRANCE du DÉMON de la HAINE et de la VENGEANCE et certains d'entre nous pourrons enfin donner ne fis qu'un minimum DE CRÉDIBILITÉ à ce que tu écris! Merci de PRENDRE EN CONSIDÉRATION ces conseils! Que DIEU t'accorde la délivrance dont TU AS BESOIN afin que TU CHANGES DE LANGAGE! Amen, amen!
RépondreSupprimerIl faut apprendre ā juger de façon positive. Le langage utiliser ce par le redacteur de ce message ci haut un l'un de plusieurs cas qu'on lit ou entrend à partir des media burundais. La question vient à mon esprit où est ce qu'on apprend cette forme de ménace d'autrui. Ces gens là dont parle dans message ci dessus ont droit de vivre comme et où ils veulent. Pourquoi alors les condamner ou les juger de façon negative.
RépondreSupprimerVivre où ils veulent, c'est leur droit.Mais, ils devront un jour répondre des crimes qui leur sont reprochés.
RépondreSupprimerivyo vyari vyo iyaba buzi ico bwokora canke butakoreshwa.icishe nuko pouvoir executif ikora amabi igaca itera ubwoba abacamanza.
RépondreSupprimershuuush everyone!!!! Abarundi dusigaye dushisha. There's not a single Mushingantahe left among my people? Aka n'agahomerabunwa koko, tuvahe tukajahe?
RépondreSupprimer