jeudi 9 juin 2016

La "communication" du CNARED scrute le parcours politique de RADJABU Hussein

« ADIEU RADJABU »,
LOUP QUI VOULAIT SE FAIRE PASSER POUR UN AGNEAU !

Par un communiqué que, sûrement faute d’un médium plus idoine qui pût lui accorder la tribune il a dû annoncer sur les réseaux sociaux, Hussein Radjabu vient de claquer la porte du CNARED-GIRITEKA !

« Bon débarras », semble signifier à celui qui a assassiné le CNDD-FDD le silence que le CNARED a réservé à son communiqué. Car Hussein Radjabu, c’est bien ça, avant tout : c’est lui l’assassin du CNDD-FDD ; il est celui dont ou par lequel tous les maux qui ont fini par envoyer au tombeau le CNDD-FDD sont venus ou passés. Et décidé qu’il est de faire des actes de destruction massive sa carrière, il a fait flèche de tout bois pour détruire le CNARED-Giriteka. En désespoir de cause, il vient d’en démissionner.

Dans la suite, je m’en vais tenter de vous peindre un tableau non exhaustif de l’image de ce « loup » qui s’est toujours présenté sous la peau d’un « agneau ».

1. Radjabu, l’architecte des massacres fratricides.

Au fort de la rébellion du CNDD, le courant dit « grand-nordiste » hante les esprits de ceux qui veulent en découdre avec Nyangoma dont le seul péché est d’être originaire de Bururi, la pépinière de ce qui fut oligarchie militaire tutsi. Il fallait trouver un stratagème. C’est ainsi que Radjabu orchestrera des massacres des soldats surtout originaires des régions du centre et de l’est qu’il chargera sur le dos de l’homme de Songa pourtant longtemps absent du terrain (son péché réel !). Comme cela s’entend, il fallait le limoger sans susciter des remous, donc en créant, au préalable, une situation qui pût faire de lui l’homme que personne ne saurait pleurer ! En mai 1998, le « monstre » tomba. Radjabu offrit l’intérim à Ndayikengurukiye le neveu du limogé (une stratégie de Rajabu ; juste le temps de calmer les esprits) avant de tout confier à celui qui allait devenir « Pierre 1er», le roi du Burundi pourri.

N’eût-été les roueries d’un certain Radjabu donc, les Burundais ne seraient pas tombés sous les griffes d’un « aigle » qui s’appelle Nkurunziza et qui les croque avec appétit !

Une fois le CNDD-FDD au pouvoir, Radjabu devient le tout puissant honorable président du Parti. Il ne se guérira jamais des réflexes tyranniques du maquis, bien au contraire. Pour lui, tout et tous devraient être pour le parti CNDD-FDD, et le contrevenant le payait cash.

C’est ainsi qu’il entreprit de faire tuer tout opposant, à commencer parles Hutu du FNL. Ils seront pourchassés comme des bêtes sauvages. Et afin que s’accomplisse sa parole comme quoi «umwansi ni umwansi ; umwansi ntagira ubwoko» (’ennemi c’est l’ennemi ; l’ennemi n’a pas d’ethnie ; une allusion au fait que les FNL doivent être massacrés, quoi que hutu), un nombre inconnu de prisonniers hutu sera exterminé. 
C’est ainsi qu’au moins 40 corps des « intumva », comme Hussein avait dénommé tout opposant, seront retrouvés dans la rivière Ruvubu. C’étaient, tous, des anciens prisonniers FNL des cachots du camp militaire de Mukoni, à Muyinga

Dans le même ordre d’idée, il faut déplorer le cas des quelques 250 jeunes du FNL (dont beaucoup d’étudiants) tombés à Buterere fin août début septembre 2007 dans la souricière d’un certain Gatayeri, un « sous-traitant » du CNDD-FDD.

Toujours dans le cadre des massacres initiés ou orchestrés par Radjabu, on ne peut ignorer la disparition tragique de Simon Nyandwi, Ministre de l’Intérieur depuis l’entrée du CNDD-FDD au gouvernement intérimaire. Soupçonné de vouloir briguer le mandat présidentiel alors qu’il bénéficiait même de l’approbation de bien des militants, l’ex-consul du Burundi à Kigoma sera assassiné, empoisonné par une tasse de thé selon toutes les sources. Par qui directement ? S’il est difficile de prouver objectivement la culpabilité de Radjabu dans cette tragédie, il reste logique de se demander pourquoi Radjabu a, en personne, dissuadé la veuve de procéder à une autopsie, en échange du juteux poste de présidence de l’Assemblée nationale ! Et cette interrogation est d’autant plus pertinente que Madame Immaculée n’était même pas membre du Parti CNDD-FDD ! A noter qu’elle avait quitté le CNDD-FDD depuis que son gendre, Dr. Nahimana Marc, avait été assassiné par des soldats agissant au nom et sous le commandement direct du même CNDD-FDD.

2. Hussein Radjabu assiste à une scène macabre au stade : une aigle dévore un coq

L’homme qui se fait passer pour un agneau aujourd’hui est un diable ! En effet pour démontrer qu’il venait pour anéantir le parti Sahwanya-FRODEBU, au lendemain de leur victoire, il a officié une cérémonie au stade où on offrait à une énorme aigle un coq vivant. La scène macabre était d’une violence insupportable même aux yeux des militants du parti vainqueur ! Cette animosité ahurissante peint le personnage Radjabu et prédisait le sort qu’il a réservé par la suite au parti Sahwanya-FRODEBU.

3. Nkurunziza régnait, Radjabu gouvernait

Si le CNDD-FDD a échoué  le  passage du mouvement armé chevauchant un maquis à un parti politique dirigeant une république, l’auteur de cet échec n’est autre que « Gahanga », comme on l’appelle désormais dans les milieux journalistiques.

En effet, se retrouvant à la tête d’un pays qu’il n’aurait jamais dirigé si Radjabu ne lui avait pas offert la baguette de commandement du maquis sur un plateau d’or, Nkurunziza n’était qu’une marionnette ; il régnait, Radjabu gouvernait ! C’est Radjabu qui prenait toutes les mesures engageant l’Etat de son plus bas à son plus haut niveau. Même les C.V des candidats aux postes techniques de la fonction publique devaient être scrutés à la loupe à la permanence nationale du parti par le très puissant Honorable Président du Parti CNDD-FDD !

Imaginez que Martin Mbazumutima, chef de cabinet du président, était en même temps agent de renseignement de Radjabu auprès de la présidence ! Il avait la mission d’informer Radjabu sur tous les mouvements du président, sur toutes ses audiences, les lettres entrantes et sortantes…,. Ainsi,  quand, par malheur, le président signait un décret de nomination sans en référer à Radjabu, le décret devrait être annulé, y compris quand il était déjà en vigueur !

4. Radjabu tente d’assassiner l’ancien président Ndayizeye, Torture Kadege et crée Willy Nyamitwe

L’homme qui veut se faire passer pour un donneur de leçons de démocratie et e respect de la loi a fait arrêter l’ancien Président Ndayizeye Domitien. Mais dans cette opération il avait prévu que la garde de Ndayizeye allait opposer une résistance à son arrestation ; dans cette résistance un peloton avait été désigné pour l’exécuté dans la confusion. Dieu aidant l’ancien Président Ndayizeye a ordonné à sa garde de laisser les hommes de Radjabu l’humilier par cette arrestation rocambolesque. Mais Kadege n’aura pas la même chance, il a été torturé devant une caméra de Willy Nyamitwe. C’est le même Radjabu qui mettra la vidéo de la torture atroce et dégradante de Kadege en circulation. Il était le seul à avoir ce « précieux » document.

Au-delà de cette torture et cette tentative d’assassinat, Hussein Radjabu est le géniteur de Willy Nyamitwe. C’est sa création ! C’est vraiment ridicule que le même homme se fasse aujourd’hui passer pour un défenseur du respect de la loi ! C’est à pleurer que l’architecte fondateur du diable Nyamitwe Willy tente de donner des leçons au CNARED-GIRITEKA.

5. L’homme qui a la phobie de la presse libre

On peut tout oublier de Radjabu sauf l’évocation de la fable « Gahanga wishwe n’iki !».

En effet, sa phobie de la liberté de la presse l’enivrant, Radjabu évoqua, un de ces jours, cette célèbre fable tragique (au sens classique du terme puisqu’il y a mort d’homme !) burundaise qui allégorise sur le devoir de la discrétion négative ! L’allusion était faite aux journalistes qui se mêlaient de ce qui les regardaient vraiment, en l’occurrence la diffusion des informations portant sur les malversations financières et d’autres crimes qui dépassaient les bornes du respirable ! On se rappellera la manière la plus virulente avec laquelle il mettra en garde les journalistes qui évoquaient le bazardage du jet présidentiel dont la vente a fini dans les poches de Radjabu et Nkurunziza : « Abishinga kuvuga ivya Falcon-50 hazogera igihe bahinde nkayo » (Ceux qui continuent de parler du Falcon-50 finiront par vrombir comme lui) !

Que de journalistes embastillés, sous l’ère Radjabu, pour de simples révélations issues d’une enquête journalistique exempte de tout reproche sur le plan déontologique ! Sous Radjabu, la plus célèbre journaliste burundaise de notre temps, Domitille Kiramvu, ne sait plus combien de rounds d’emprisonnement ou d’interpellations qu’elle a subits, pour une moindre information sur le régime de Radjabu !

6. Radjabu le ploutocrate, donc le médiocrate

Sous Radjabu, l’argent remplaçait le diplôme, le militantisme la compétence. Ainsi, pour avoir même le poste d’enseignant à l’école primaire, il fallait débourser au moins 10 fois l’équivalent de ton salaire mensuel. Et tout se négocier à la permanence du parti. Vous pouvez en déduire ce qu’il fallait donner comme pot de vin pour des postes de moyenne et haute responsabilité !

C’est à force de voir la couleur de l’argent avant la lourdeur du savoir que le Burundi est devenu un pays où on n’a plus besoin de détenir même un certificat de la scolarité primaire pour devenir un haut cadre de l’Etat !« Tu donnes plus, tu auras plus » ; « wamaze iki » (tu as donné quoi ?), c’étaient les slogans phares de « Gahanga ».

Et c’est dans le droit fil de cette dérive ploutocratique que les vrais militants (y compris de la première heure) ont été remerciés pour être remplacés par ceux qui étaient en mesure d’acheter leurs places.

Ainsi verra-t-on la montée en puissance des personnes qui n’avaient jamais milité ni de près de loin au CNDD-FDD mais qui, grâce à leur pouvoir pécuniaire, deviendront vite les caïds du parti.

Ainsi, un gars comme Edward Nduwimana (l’architecte de la « nyakurisation ») est non seulement entré au CNDD-FDD quelques semaines avant son arrivée au pouvoir, mais aussi il a combattu vigoureusement ce parti. Jean Bosco Ndikumana, qui sortit de sa faculté de criminologie pour tout de suite devenir successivement procureur de la République et Ministre de la justice, était rapatrié de la Cote d’Ivoire en tant que haut cadre du FNL. Rwankineza Laurent n’est entré au CNDD-FDD que parce qu’il était milliardaire !

Ce sont de ces parvenus que Radjabu a fait venir dans le parti qui ont fini par démolir le parti. Quoi de plus normal ? On ne peut mener à bout un projet dont on ne sait ni les dispositions tactiques ni l’idéal stratégique ; le système DD naviguait à vue. La suite nous la connaissons : conjuguant à cette ploutocratie l’intolérance et la discrimination politique qui faisaient que nul ne se faisait embaucher même à un poste technique sans exhiber la carte du parti, une médiocratie sans nom s’est instaurée.

Voilà comment le Burundi est devenu le dernier pays au classement mondial en termes de PIB par habitant !

En vérité, c’est la ploutocratie et sa cousine la médiocratie initiées par Radjabu qui ont mis l’économie du Burundi à genoux ; aucun pays au monde ne peut se développer avec des travailleurs recrutés sur des bases contraires aux normes universelles en termes de travail !

7. Radjabu, le centralisateur des malversations

En moins de 5 ans, Radjabu est passé de simple fonctionnaire à homme le plus riche de la région ! Et si vous avez compris le concept « wamaze iki », vous comprenez bien d’où est venu au moins une partie de sa richesse astronomique.

Outre « Wamaze iki », tous les cas des malversations connues sous le régime Radjabu étaient centralisés au niveau du parti qu’il présidait. Et là, personne d’autre ne pouvait lorgner impunément sur la « mangeoire » ! C’est ainsi que son patron longtemps resté dans l’ombre finira par s’émanciper de son « géniteur politique » ; Nkurunziza s’est, à un certain moment, rappelé que c’était lui le commandant en chef de la foire des larrons ! Et ça ne se passa pas de la meilleur manière : à la suite d’un congrès qui eut lieu à en Ngozi le 2 avril 2007, Radjabu fut déchu de ses fonctions de président du parti et jeté dans le gnouf ! Il en sortira 8 ans plus tard, au gré d’une évasion rocambolesque.

Depuis, et c’est le mal du siècle burundais, il se considère toujours comme président du parti CNDD-FDD ! Il a raison !Il est le géniteur du système CNDD-FDD qui gangrène le pays. Mais ce que Radjabu devrait savoir c’est que son CNDD-FDD est comme le MRND ! Il devrait en avoir honte au moment où la grande majorité du peuple burundais rejette ce parti y compris au sein de l’UPD !

8. Radjabu, l’homme qui ne s’accorde avec personne : ou pourquoi il a quitté le CNARED

Radjabu est l’ennemi nr. 1 du débat contradictoire ; et quiconque le conseille le contraire de ce qu’il croit devient son ennemi pour de vrai.

Il est aussi un grand semeur de zizanie. Gahanga a semé le grain de l’inimitié entre les Hutu et les Tutsi, entre les époux, entre les instruits et les illettrés, entre l’élite et la masse paysanne, entre les ex-maquisards et les politiciens, entre les citadins et les ressortissants du pays profonds, entre ceux qui venaient de l’exil et ceux qui étaient restés au pays, etc.

Pour détruire l’entente entre ses subalternes, il les convoquait un à un pour leur dire que l’autre voulait le tuer, et ce afin qu’il n’y ait pas de solidarité contre lui. En conséquence, il restait le maître de tout. C’est ainsi qu’il a pu s’allier au moins 22 députés qui ont enclenché la première des séries des hémorragies qu’a subi le CNDD-DD et qui ont fini par avoir raison de lui. Peu après, ces députés ont fini par constater que Radjabu les avaient roulés dans la farine ; qu’il les avait utilisés seulement pour qu’ils l’aident à haïr Nkurunziza, à créer, tout court, la « peste Nkurunziza » afin que d’aucuns braquent les yeux sur Nkurunziza et laissent Radjabu tranquille dans son empire de malversations.

Ainsi, bien avant son emprisonnement, dans le cercle DD, chacun soupçonnait chacun ; tout était fait pour l’implosion du parti, ce qui, avec le temps, a fini par se concrétiser.

En dernière analyse, c’est cette incapacité à composer avec la société qui a maintenu Radjabu à l’écart du CNARED. Car en réalité, Radjabu n’est pas sorti du CNARED, n’y étant jamais entré ! Tous les postes qu’on lui avait proposés, y compris celui de vice-président, il les avait snobés. Au fait, il lui devenait très complexant de s’asseoir avec des personnes qui, toutes ou presque, avaient un contentieux avec lui.

En effet, soyons réaliste ; Radjabu n’est pas un extraterrestre ; comme vous et moi, il connaît la honte : même si on dit qu’en politique il n’y a pas d’ennemi permanent, ce n’est pas très aisé, quand on s’appelle Hussein Radjabu, d’entrer dans un mouvement où vous aurez comme collaborateurs et non subalternes des personnes qui s’appellent Nyangoma, Nzomukunda, Basabose, Onésime, etc. ! Il a beaucoup de compte à régler avec sa conscience, son histoire et ses anciens compagnons d’armes ; il a beaucoup d’ennuis. Et en annonçant qu’il quittait le CNARED (dont il n’a participé à aucune de ses réunions depuis sa création !), il a cherché, sans la trouver, une bonne porte de sortie. Or, pour tous les observateurs de la politique burundaise, politiquement, Hussein Radjabu ne peut survivre à ce énième « coup de sous-la-ceinture » ; cette fois est la bonne, adieu Radjabu, votre mort politique est, enfin, définitive !

Pauvre héros qui se condamne à l’oubli ! Pauvre type qui, certes, ne manquait pas de batailles nobles à lui reconnaître mais qui, comme d’ailleurs son ennemi historique Nyangoma, « adusaziye nabi » (il nous vieillit en se déshonorant) ! Pauvre type qui gâte jusqu’au tout dernier tournant de sa course écervelée à la tête introuvable d’un pays qu’il a enterré ! Son paranoïa le poursuivant jusqu’à cet âge où, pensant à la fin de leurs jours, les sages peaufinent plutôt l’image qu’ils vont laisser à la postérité, notre Radjabu rêve, lui, d’être président du CNDD-FDD qui a été dans sa poche et qui n’est plus que dans sa tête !

Pole sana mzee ! Le « CNDD-FDD épris de l’esprit de la loi » (ainsi dénomme-t-il son parti imaginaire) n’est reconnu nulle part, que ce soit dans l’opinion ou par la loi. Que votre retraite politique vous soit clémente ; que la vie sans les crocs-en-jambe politiques vous assagisse davantage !

Par Léonard Ntwenga, CNARED-Info

12 commentaires:

  1. Tout ce que vous avez dit dans cet article est la vérité et rien que la vérité. Mais, diable, pourquoi attendez-vous si longtemps pour informer les gens? N'est-ce pas parce que vous avez un compte à régler? N'attendez jamais des règlements de compte pour nous décrire ces "politiciens!"

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  2. Sokuru yahora atubwira ngo abapfulero bavuga ngo "Imbungwe ishekembolo" ou "Ikibunzwe ngo gitwenga icaboze ngo kandi atatandukaniri ririho hagati yo kubora no kubungwa!

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  3. A lire ce document de monsieur Ntwenga , on comprend d'un coup qu'il y avait quelque chose qui etait cacheé en lui. Pourquoi devenir mecontent,furieux, si quelqu'un quite un parti ou une association? Présenter une démission est tout a fait normal. De tout temps, quand quelqu'un sente une menace de vomissement, il s'écarte des autres pour se diriger quelque part pour se soulager de ce vomissement. Ntwenga devrait choisir un autre cadre pour parler de Radjab. Cette literature n'honore ni le compositaire ni l'auditoire.

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    1. Come, laisse les gens s'exprimer! Mais contentes-toi de démentir si nécessaire ou d'approuver si nécessaire aussi ou de se taire si tu n'a rien à reprocher.
      Moi je vois que ce que NTWENGA a écrit est tout à fait vrai.

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  4. ndaguhagaritse wa mugabo we ntutubeshe nta radjabu yahamvye cndd fdd kubera ashira hanze ivyanyu vya cnared , mbe cnared imaze gufasha iki ko muguma mugwanira ibibanza mutarashika nomubutegetsi mumaze kugira iki ko mugitangura mwari mushushe reka reka reka ntavyanyu

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  5. Mushingantahe! URASHISHUYE RADJABU UMWAMBITSE IBARA BIDASANZWE! Ntako waduciriye kumayange ibintu BIDASHEMYE bitari bike yoba yarakoze, on sent AGASHAVU PERSONNELLE quelque part! YAMARA, IKARAMU WARIZE KUYIFATA PE!!! NTIWANDIKA URINDWA UMUBI! Kuco twita LE VERBE, NTAWOGUHARIRIZA KABISA!!! Ku rurumi bita IKINYAMAZURU, abitwa ba Victor HUGO, Beaudelaire be n'abandi nkabo, nabo nyene NTIBOBIHARIRA! Uzoze urandika kenshi bamwe bamwe tuba dukumbuye IGIFARANSA "LIVE" nk'ico mbona "WATEREMUTSE"!

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    1. Monsieur "Anonyme", c'est bon que tu sois appelé ainsi! Tu est intéressé par le français ou ce qui est dit? Je te trouve superficiel!
      Mr Radjabu est connu de tous ceux qui avaient l'âge de comprendre à son "Ere"! La vanité, la déraison, l'illogique, la corruption ne pouvaient qu'être les caractéristiques d'un technicien vétérinaire mis miraculeusement aux commande d'un Etat qui avait besoin d'un homme de poigne. Si tu as l'occasion, réécoutes ses discours.
      Hezagirwa !

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    2. j'ai rien compris de ta réponse nsinzikayo par rapport aux grenades qui étaient lancés dans des bistrots fréquentés à grande majorité par des tutsi

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    3. Mr. Sinzinkayo, NO OFFENCE SIR! Je ne connais pas RADJABU, donc, je ne pourrais ni le condemner ni le defendre! Cependant, j'ai le droit de rester neutre aussi! Yamara ukoze numva umbwira kwumviriza ama discours yiwe. Tu as peut être raison car izo discours zirashobora gutuma menya Radjabu plus ou moins. None urashobora kumbwira ingene nozironka ngo ndazumvirize?

      Nivugiye igifaransa kuko nivyo uwo mushingantahe NTWENGA Léonard afise ni KIREKIRE BIKWIYE! Ibi vyovyo SI AGASESESHWA RUMUMI! None mpebe nzire que j'ai fait un compliment à quelqu'un? En attendant que tu me dises ou je peux trouver les discours de monsieur RADJABU, je me permets de RÉITÉRER MES COMPLIMENTS à monisieur Ntwenga pour son excellent français! Monsieur SINZINKAYO, d'ici-là PORTES-TOI BIEN! Cordialement, ANONYME

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  6. Ivyavuze nivyo abivuze mugihe atarico gusa

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    1. Ivyavugiwe canke ivyakorewe mukinyegero vyanse bikunze amaherezo bizogaragara.Ibi bintu Leonard NTWENGA yanditse n'ukuri kwambaye impuzu, kandi nibibere icigwa abanyapolitique, gutwara ufise umutima woguhemuka, ufise umunoho gusa w'ifaranga ntaho bishikana. Gutwara c'est un art, saho gutuma umwana canke umuntu w'ikijuju amaherezo basubiranamwo, kuko ivyo bakora ntaho biba bishingiye, bubakira kumusenyi, bigaca bishwemuka hadashize n'umwanya.

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  7. yibagiye ya ma grenades yamara abatutsi mu ngagara(ombre du palmier), kuri 11 mu nyakabiga yagatatu c'était tjrs ce pauvre de Radjabu

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