Nous avons lu avec un intérêt particulier, un article signé sous le pseudonyme de Pierre Pot Kamaro, par lequel l’auteur s’interroge si l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu serait trahi ou animé d’une simple volonté de vengeance ?
D’emblée, nous avons été sidéré par une description, aussi erronée que malveillante, faite par un homme de paille sur cette éminente personnalité politique burundaise. Elle n’a suscité qu’une tempête dans un verre d’eau et ne reflète que l’image sciemment déformée de ce leader qui a fait preuve d’un patriotisme stoïque, un citoyen courageux et un combattant audacieux ! Nous avons eu l’occasion de le voir à l’œuvre, de l’accompagner du début jusqu’à nos jours. C’est pourquoi, nous avons l’obligation morale d’apporter toute la lumière, en notre qualité de témoins oculaires et auriculaires.
En fin politicien, l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu a vaillamment combattu les forces rétrogrades dont l’objectif primordial consistait à monopoliser le pouvoir au Burundi, afin d’y installer pour l’éternité, un régime dictatorial ! En ce qui concerne ces allégations fallacieuses et mensongères, relevées dans l’article de Pierre Pot Kamaro, il y a lieu d’affirmer sans ambages qu’au lieu de s’attaquer aux maux qui rongent actuellement notre société, la classe politique burundaise fait montre de son incapacité, de son incompétence et de son insouciance à mettre fin aux atrocités commises quotidiennement et au grand jour, par le régime illégal et despotique de Pierre Nkurunziza, ainsi que les désertions massives des membres des Corps de Défense et de Sécurité.
D’emblée, nous avons été sidéré par une description, aussi erronée que malveillante, faite par un homme de paille sur cette éminente personnalité politique burundaise. Elle n’a suscité qu’une tempête dans un verre d’eau et ne reflète que l’image sciemment déformée de ce leader qui a fait preuve d’un patriotisme stoïque, un citoyen courageux et un combattant audacieux ! Nous avons eu l’occasion de le voir à l’œuvre, de l’accompagner du début jusqu’à nos jours. C’est pourquoi, nous avons l’obligation morale d’apporter toute la lumière, en notre qualité de témoins oculaires et auriculaires.
En fin politicien, l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu a vaillamment combattu les forces rétrogrades dont l’objectif primordial consistait à monopoliser le pouvoir au Burundi, afin d’y installer pour l’éternité, un régime dictatorial ! En ce qui concerne ces allégations fallacieuses et mensongères, relevées dans l’article de Pierre Pot Kamaro, il y a lieu d’affirmer sans ambages qu’au lieu de s’attaquer aux maux qui rongent actuellement notre société, la classe politique burundaise fait montre de son incapacité, de son incompétence et de son insouciance à mettre fin aux atrocités commises quotidiennement et au grand jour, par le régime illégal et despotique de Pierre Nkurunziza, ainsi que les désertions massives des membres des Corps de Défense et de Sécurité.
Devant ce tableau aussi sombre que dramatique, une partie de la classe politique burundaise, multiplie ces derniers jours, ses tirs croisés contre ce fils digne du Burundi. Celui-là qui était parvenu à partir de 2005, à faire de notre beau pays, une terre de Paix, de Sécurité et de Développement. Un pays convoité par tous ses voisins de la sous-région des Grands-Lacs africains. Une destination où les valeurs et les principes démocratiques étaient devenus le socle du système politique et d’un développement socio-économique harmonieux. N’eut été sa mauvaise foi et sa lecture biaisée de la réalité du Burundi depuis les victoires électorales du Cndd-Fdd en 2005, ce Pierre Pot Kamaro qui a manqué le courage d’assumer pleinement ses écrits en signant son article par un pseudonyme révélateur de sa bassesse d’esprit, devrait se rappeler d’une chose. L’Honorable El Hadj Hussein Radjabu est et reste le pur produit de Mr Fundi Radjabu, son père légitime et compagnon de lutte du Prince Louis Rwagasore, Père de l’Indépendance du Burundi!
En effet, après la destitution du Général Jean-Bosco Ndayikengurukiye, l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu a joué un grand rôle, quant à l’organisation et la cohésion du mouvement Cndd-Fdd. Sa préoccupation majeure consistait à faire de ce mouvement, une force politico-militaire réelle, capable de faire face aux défis de l’époque. Son souci primordial était de rassembler les jeunes combattants, autour des idéaux sacro-saints d’Unité, de Paix et de Solidarité, de les former et de les encadrer, comme il se devrait, afin d’en faire des combattants aguerris. Il n’a jamais rêvé un seul instant, à briguer le fauteuil présidentiel au Burundi, pendant ou après les années du maquis. Ainsi, après ses brillantes victoires électorales de 2005, nombreux étaient ses concitoyens et compagnons de lutte du Cndd-Fdd, qui disaient que l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu devrait être récompensé pour sa contribution inestimable dans la libération du peuple burundais, en lui confiant le poste du président de la République. A la grande surprise de toute la population burundaise et contre toute attente, ce visionnaire politique et leader charismatique éclairé, a tout simplement décliné l’offre.
Aujourd’hui, onze ans après, il est déplorable d’apprendre, à travers ce tissu des mensonges grotesques cousus en fil blanc par Pierre Pot Kamaro, que l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu rêve de recouvrer le fauteuil présidentiel et l’accuse en même temps, de tuer, de voler et de promouvoir la médiocrité au Burundi ! Quelle aberration ! C’est regrettable qu’il existe encore de burundais, qui, au lieu de penser l’Unité et la Prospérité de notre peuple, s’activent et rivalisent dans la mesquinerie, l’intolérance et le mensonge politique, en vue d’étouffer dans l’œuf, toute initiative patriotique de remettre le Burundi sur les rails de la Paix, de l’Unité, de la Démocratie et du Développement Humain Durable.
Pour mémoire, Pierre Pot Kamaro, comme d’ailleurs toutes les autres victimes de la cécité politique et de la mémoire courte, comme lui, devraient se rappeler que l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu était élu député dans la mairie de Bujumbura et président du Cndd-Fdd, en vertu des textes fondamentaux régissant la Nation burundaise. Il n’a jamais manifesté, ni de près ni de loin, un penchant quelconque à la gestion d’un pouvoir étatique, encore moins à s’immiscer dans la gestion des affaires ne relevant pas de sa compétence. C’est dans cette perceptive qu’il est monté au créneau en pole position, pour dénoncer notamment les dossiers des malversations économiques et financières, les tueries de Muyinga, les cahiers ougandais, la vente illicite de l’avion présidentiel (Le Falcon 50), … Il est affligeant que des esprits malintentionnés, osent accuser sans vergogne, le vaillant fils du pays, de donner des ordres au Colonel Vital Bangirinama de massacrer des membres du parti Fnl. La réalité est que les présumés coupables de ce plan macabre sont Nkurunziza et ses pseudos frondeurs qui pour échapper aux mailles des filets de la justice burundaise et internationale, ont mis tout en œuvre pour faciliter la fuite du Colonel Vital Bangirinama, présumé être le principal responsable de ces massacres de Muyinga ! Une chose qui sera confirmé plus tard par Nkurunziza lui-même, arguant qu’il a voulu éviter une confrontation entre la police et l’armée, à propos de ces massacres de Muyinga.
A propos de la disparition inopinée du Ministre Simon Nyandwi, il appartenait à l’Exécutif de s’assurer qu’il était victime d’une mort naturelle ou par empoisonnement. Cela relevait du gouvernement, et non du parti politique Cndd-Fdd. Il en est de même de l’emprisonnement de l’ancien Vice-président de la République, Alphonse-Marie Kadege, il s’agissait, d’après plusieurs sources concordantes et indépendantes, d’un conflit interne au parti Uprona. Quant au président Domitien Ndayizeye, il a été arrêté au sénat burundais, après avoir été dépouillé de son immunité parlementaire, par les dirigeants de l’époque, aujourd’hui frondeurs ! Il serait aberrant d’admettre qu’un politicien sans scrupules, avide du pouvoir et matérialiste de surcroit, tels que Jean Minani, ait échappé à la mort, alors qu’en réalité, il est le fossoyeur principal de la démocratie dans le pays, en tant qu’architecte et artisan, de c’est que nous appelons communément « nyakurisation. » Quant au sujet du dossier Manirumva, nous recommandons aux burundais de rester serein et patient, en attendant le changement du régime, qui va certainement réviser le dossier. Car, tant que le système juridique est inféodé par l’exécutif, il n’y aura jamais de justice équitable.
Avant de terminer, il importe de rappeler, Juste pour nous limiter seulement sur le dossier de l’avion présidentiel, le Falcon 50, n’est-ce pas que c’est grâce à ses interventions sages et rigoureuses devant l’hémicycle de Kigobe, que l’Assemblée Nationale burundaise a mise sur pied une commission parlementaire, chargée d’apporter plus d’éclairage sur ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encres et de salives ? Hélas, ce dossier a été vite détourner par Mr Pie Ntavyohanyuma, alors président de l’Assemblée Nationale. Quelles sont les véritables motivations de ce Pierre Pot Kamaro, de faire croire à l’opinion nationale et internationale que l’Honorable El Hadj Hussein Radjabu, respectueux de la légalité, de l’équité et fervent défenseur de la Démocratie, soit aujourd’hui accusé par des personnalités, sans foi ni loi, par ses énergumènes, ventriotes et égocentriques de tous calibres, tentant vainement d’occulter la vérité, en collant toute la responsabilité criminelle à des innocents ? En guise de conclusion, nous recommandons, à tous ceux, qui de près ou de loin, ont participé à la cogestion avec Pierre Nkurunziza, notamment le groupe de frondeurs (Ex président de l’Assemblée Nationale, Pie Ntavyohanyuma, ex deuxième Vice-président de la République, Gervais Rufyikiri, ex Porte-parole du président de la République, Léonidas Hatungimana, …) qui ont cheminé ensemble jusqu’à la fin du 2e mandat de Pierre Nkurunziza de mettre fin à leurs magouilles, alors qu’en réalité, ils ont étroitement collaboré, dans la mauvaise gouvernance du pays, caractérisé notamment par l’Injustice sociale, la récession, des exécutions extrajudiciaires, la popularisation, la mauvaise gestion des ressources naturelles, des assassinats ciblés, …Ils doivent par conséquent subir la même peine, en leur qualité de coauteur que l’auteur principal.
En fin, nous recommandons la patience, la sérénité et le calme au peuple burundais. Car, le changement ou plutôt la victoire est pour bientôt ! Quoi qu’il en soit, cette haine et cette méfiance dont parle le très ridicule Pierre Pot Kamaro, elles n’existent que dans son cœur et celui de ses complices. Le Vaillant leader, conscient des engagements sacrés qu’il a pris vis-à-vis du peuple burundais, n’a aucune seconde à perdre pour répondre à ces balivernes ni s’engager dans des luttes byzantines, initiées par des politiciens mineurs et minables, sans aucune affiliation avec le peuple ni vision nationaliste et panafricaniste dans la résolution de la crise burundaise. Pierre Pot Kamaro aura donc perdu une occasion de se taire.
A Bon Entendeur Salut !
Club des démocrates
Qui est ce Pierre Pot Kamaro?
RépondreSupprimer"Club des démocrates", vous vous énervez trop et vous vous trahissez. Nul n'ignore les mots prononcés par votre protégé au stade Prince Louis Rwagasore ("bazohinda nka yo"). L'affaire de Muyinga ainsi que le traitement infligé à Kadege seront déclassifiés un jour. Je ne connais pas ce Pierre Pot Kamaro mais de là à vider votre petit dictionnaire politique en ces mots "initiées par des politiciens mineurs et minables, sans aucune affiliation avec le peuple ni vision nationaliste et panafricaniste dans la résolution de la crise burundaise. Pierre Pot Kamaro aura donc perdu une occasion de se taire" pour simplement défendre votre idole, sans penser que que vos lecteurs que nous sommes ont un minimum de connaissances sur l'histoire récente du Burundi puisque vous vous promenez avec votre valise de travers auxquels vous avez participé avant d'être écarté, vous ne faites pas mieux que Pierre Pot Kamaro et permettez-moi de vous dire que vous pétez plus haut que votre cul.
RépondreSupprimerLa vérité blesse,Mr clubs des démocrates. Que ce soit ton Radjabu ou les frondeurs, ils sont tous coupables et devront répondre devant la justice le jour "J". Quel est ce démocrate qui musele et emprisonné les journalistes. Je ne pense pas qu'il y a un seul burundais qui aurait oublié son discours "gahanga wishwe n'iki?" au stade(unless they have a short memory like you. Mr club des démocrates what you are doing is like putting a lipstick on a pig.
RépondreSupprimerDommage de vouloir donner des leçons par des injures si réellement ce récit a été écrit par le club des démocrates pro- Radhjabu finalement vous donnez raison à Pierre pot Kamaro. Est-ce que au moins vous vous rappèlerez que sur le dossier Falcon 50 votre protégé s'est exprimé publiquement au stade Prince Louis Rwagasore?
RépondreSupprimerChers amis du Club des démocrates;
RépondreSupprimerIl m'est difficile de reste indifférent au propos que vous nous tenez dans votre article en rapport avec votre ''Monument Politique'',sieur Hussein Radjabu.
Chers amis de 'Club des démocrates', c'est vraiment regrettable que des gens que nous croyions 'Démocrates ' (comme vous vous prénommer) et pour lesquels nous lisions les articles avec enthousiasme; puisse avoir une vision aussi bornée et partisane.
Nico gituma igihugu cacu kitazopfa kivuye mungorane, aho abantu twari twizeye ko bomurikiye abandi nka mwebwe bashobora kuvuga amajambo nkayo mwanditse.Mbe mufata abarundi nk'iki?
J'ai bien lu l'article de Pierre Pot Kamaro; bien que certains propos m'ont semblé être des propos très dévoilés et sans ambages ni ménagement je n'ai rien trouvé de ces propos qui ne soit connu du citoyen lambda burundais. Depuis la mort de feu Nyandwi Simon jusqu'à la démission de Alice Nzomukunda en passant par le tristement mémorable discours de Rumonge 'Gahanga wishwe n'iki', l'emprisonnement de Ndayizeye et Kadege, la vente de la Falcon 50... le burundais impartial, véridique et qui n'est pas attent de Darwinisme peut avouer que Hussein Radjabu était l'avaliseur si pas le concepteur de toutes ces sales besognes.
Si vous êtes partisan de ce 'monument politique' nous croyons qu'il faut aller l'ériger dans votre salon au 'Club des démocratiquailleurs' mais pas nous l'imposer, quant bien les burundais avons la mémoire courte.
Ne vous en prenez donc pas à Kamaro (Que je ne connais meme pas) comme quoi il veut déboulonner votre monument de Radjabu parce que Hussein Radjabu s'est lui-même déboulonné.
Promotion yibijuju niwe yabizanye mugihugu.Ago yavuga NGO nikidaje nari muri Stade Prince louis naciye mbwira about twari kumwe nti uyo aragiy warahi
RépondreSupprimerDusengere igihugu cacu c'uburundi kuko Imana yonyene niyo izogikiza gusa!We are all sick!We all need help!
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