250 000 Burundais ont fui leur pays depuis le début de la crise en avril 2015. Un chiffre qui continue d’augmenter et qui inquiète le Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés, d’autant que l’organisation n’a reçu que 3% des fonds dont elle a besoin pour dispenser son aide. Où sont les réfugiés burundais et quels sont les principaux enjeux que soulève cette crise ?
Les Burundais trouvent refuge principalement en Tanzanie. Chaque semaine, ils sont environ 1 000 à franchir la frontière. Dans ces camps, souvent surpeuplés, les femmes sont particulièrement vulnérables. Entre mai et septembre 2015, l’ONG Refugees international a recensé le nombre, probablement sous-estimé, de 600 cas de violences faites aux femmes.
Ensuite vient le Rwanda où 73 000 Burundais sont arrivés depuis le début de la crise, en avril. Plus de la moitié d’entre eux se trouvent dans le camp de Mahama dans l’est du pays. Un camp où l’ONU et les Etats-Unis soupçonnent les groupes armés hostiles au pouvoir de Bujumbura de recruter parmi les réfugiés en bénéficiant d’une certaine tolérance de la part du Rwanda. Face à ces accusations, le mois dernier Kigali a menacé de « relocaliser » les réfugiés burundais.
Mais les déplacés internes sont également nombreux. Refugees international interpelle sur leur situation et souligne que les milices et les forces de sécurité empêchent certains réfugiés de fuir. Selon l’ONG, « beaucoup ont tellement peur qu’ils n’osent même pas demander de l’aide. »
Les Burundais trouvent refuge principalement en Tanzanie. Chaque semaine, ils sont environ 1 000 à franchir la frontière. Dans ces camps, souvent surpeuplés, les femmes sont particulièrement vulnérables. Entre mai et septembre 2015, l’ONG Refugees international a recensé le nombre, probablement sous-estimé, de 600 cas de violences faites aux femmes.
Ensuite vient le Rwanda où 73 000 Burundais sont arrivés depuis le début de la crise, en avril. Plus de la moitié d’entre eux se trouvent dans le camp de Mahama dans l’est du pays. Un camp où l’ONU et les Etats-Unis soupçonnent les groupes armés hostiles au pouvoir de Bujumbura de recruter parmi les réfugiés en bénéficiant d’une certaine tolérance de la part du Rwanda. Face à ces accusations, le mois dernier Kigali a menacé de « relocaliser » les réfugiés burundais.
Mais les déplacés internes sont également nombreux. Refugees international interpelle sur leur situation et souligne que les milices et les forces de sécurité empêchent certains réfugiés de fuir. Selon l’ONG, « beaucoup ont tellement peur qu’ils n’osent même pas demander de l’aide. »
le 09-03-2016 à 22:26, http://www.rfi.fr/afrique
Il n'y a aucune surprise, le groupe qui a usulpé le pouvoir, a un plan clair de genocide. il detruit la justice l'armée et la police, que ce qui reste pour secourir le peuple?
RépondreSupprimerSi La nation NU ne veut pas envoyé les Casque-Bleu ,il n'y a aucune espoir de la paix dans ce pays. Les Tutsi et les Hutu qui n'embarquent pas avec NKURUNZIZA vont etre tous décimés, avec leur plan de "un à un" ou de 10 à 10 , pour eveiter masse killing , "it's ok" pour notre chere communauté internationale.
Umututsi wese afise umutima yarakwiye kubona ko la torture et l'humiliation que le Tutsi Burundi est entain de subir, est violence pyschologique qui nous affecte tous et devrions nous unir , avec tous les Tutus modérés pour dire Non a ce criminel.