Alors que du 12 au 14 juillet 2016 les délégations burundaises devraient se rencontrer de nouveau à Arusha (Tanzanie) pour un nouveau round des négociations, en vue de désamorcer la crise liée au 3e mandat de Pierre Nkurunziza, ce rendez-vous va probablement accoucher d’une souris. En effet, sous la plume de Pascal Nyabenda, leader très contesté du Parti Cndd-Fdd, cette formation politique de la majorité présidentielle a publié ce 30 juin 2016, un communiqué de presse dans lequel elle affirme sans contours que « la vérité attendue par le peuple burundais ne viendra pas d’Arusha bis ! » Dans les lignes de ce communiqué, nous pouvons lire notamment que ceux qui veulent se rencontrer à Arusha en 2016, Opposition radicale burundaise et Société Civile de ce pays, sont les nostalgiques de la version de 2000 dont les ventres se sont agrandis.
Ils visent ainsi un recentrage du partage des postes pour confisquer totalement le pouvoir populaire, avec l’aide de la Belgique et du Clergé, alors qu’ils sont tous des putschistes du 13 et 14 mai 2015, selon toujours Pascal Nyabenda! A quelques jours seulement du début de ces pourparlers, le Parti Cndd-Fdd sème stratégiquement la confusion, en vue de briller par la « chaise vide » à Arusha. Il spécule ainsi à jouer le chrono pour pérenniser la crise au Burundi, dans l’espoir de retrouver un jour sa vitalité d’antan par des alliances diverses, en vue de consommer indéfiniment son mandat au pouvoir dans notre pays. En dépit du fait que Pascal Nyabenda est devenu plus arrogant qu’incohérent dans son comportement à la tête du Cndd-Fdd depuis quelques années, il est actuellement plus que jamais dans un fauteuil éjectable.
Dans sa descente aux enfers, ce bricoleur politique qui ne connait rien du Cndd-Fdd, pour y avoir adhéré à la 25ème heure sur base des calculs spéculatifs et bassement matériels, sans aucune conviction philosophique ou politique de sa part, à l’image de tous les inconditionnels du 3e mandat de Pierre Nkurunziza, il est aujourd’hui capable de tout. Il est déjà séduit par l’argent, la gloire et le pouvoir. Ses richesses, sa vanité et son orgueil dégradent, détruisent et ôtent chaque jour, à la vie humaine, à la paix sociale et au développement durable, leur raison d’être au Burundi ! Il se croit Saint et refuse alors de dialoguer avec les Démons ! Il oublie ainsi que la flexibilité en visant l’avenir, en politique comme dans d’autres domaines, c’est l’une des clés du succès. Or, le succès, ça se construit. Il faut avoir du courage, de l’autonomie et de la liberté.
Ce n’est donc pour rien que Pascal Nyabenda, aujourd’hui usé jusqu’à la corde, cherche à détruire toute initiative pacifiste de ramener la paix et la sécurité au Burundi, à n’importe quel prix, simplement pour faire plaisir à son Maitre, Pierre Nkurunziza ! Même s’il faudrait ternir nos relations privilégiées et historiques avec la Belgique, premier partenaire du Burundi sur l’échelle mondiale ! Même s’il faudrait enterrer définitivement le Cndd-Fdd, cette grande formation politique qui les avaient portés démocratiquement au pouvoir depuis 2005 ! Même s’il faudrait classer dans les calendes grecques l’Accord de Paix interburundais d’Arusha, après l’avoir déchiré et brûlé en mille morceaux !
En faisant l’amalgame entre le Clergé, l’Opposition politique radicale, la Société Civile, la Belgique et certains dignitaires belges pris à titre individuel, … vis-à-vis de ce prochain round des pourparlers d’Arusha ; en cherchant vainement à remplacer Arusha par la Commission Nationale de Dialogue Interburundais (CNDI), taillée à la mesure et aux aspirations du Cndd-Fdd Nkurunziza - Nyabenda , Pascal Nyabenda étale au grand jour, son état de santé psychique et politique, de même que celui de son parti et de toutes les Institutions du 3e mandat. En effet, à lire ce communiqué, il se conclut que quand les gens dépassent une certaine limite de politesse, cela démontre leurs faiblesses, pas leurs forces.
C’est peut-être sous ce décor plein de pessimisme que Pascal Nyabenda a voulu également utiliser la recette du mensonge mise au service de la calomnie et de la manipulation, contre notamment la Belgique et le Clergé. Avec comme objectif d’enterrer Arusha au profit de la Commission Nationale de Dialogue Interburundais, CNDI ! Malheureusement, il s’est mis les pieds dans le tapis, abimant ainsi toutes ses chances de se positionner comme un acteur politique de grande influence, incontournable dans la restauration de la paix et de la sécurité au Burundi. Pascal Nyabenda qui n’a jamais été convaincu de l’idéologie originale du Cndd-Fdd, lui qui a adhéré au Cndd-Fdd à la 25e heure ! Aujourd’hui l’erreur magistrale de ce parti serait d’imposer ce 3e mandat de Pierre Nkurunziza à toute la communauté nationale et internationale, tout en cherchant contre vents et marées à piétiner constamment l’Accord de Paix interburundais d’Arusha, pour la Paix et la Réconciliation Nationale. La base légale de la légitimation de l’arrivée au pouvoir de de Pierre Nkurunziza en 2005 pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois !
Quoi qu’il en soit, en boycottant le nouveau round des pourparlers interburundais d’Arusha prévu pour la fin de cette semaine, en misant sur la contestation de l’Accord d’Arusha signé en grande pompe le 28 août 2000 avec la bénédiction de toute la communauté internationale, le Cndd-Fdd version Pierre Nkurunziza – Pascal Nyabenda précipite son enterrement politico-diplomatique. Ce qui est aussi une voie également ouverte à toutes les malédictions divines, surtout qu’il s’agit d’une violation intentionnelle du serment effectué par tous les cadres de ce parti, entrant dans les Institutions du pays. Avant d’être désigné président de la République en 2005, Pierre Nkurunziza, comme d’ailleurs Pascal Nyabenda, avait prêté serment en ces termes : « moi, Pierre Nkurunziza, honoré par le Mouvement Cndd-Fdd pour le représenter dans les Institutions ; je jure devant Dieu le Tout-Puissant, tous les bagumyabanga ici réunis et ceux emportés par la lutte armée, de rester fidèle à l’idéologie du Mouvement et de demeurer attentif en paroles et en actions par le bien-être de mes compagnons de lutte et à l’intérêt supérieur de tous les burundais. J’accepte la malédiction de Dieu le Tout-Puissant en cas de la transgression du présent serment ! » Ainsi va la chute inévitable du couple Nkurunziza-Nyabenda, un duo maudit et vomi par le Tout-Puissant !
Ils visent ainsi un recentrage du partage des postes pour confisquer totalement le pouvoir populaire, avec l’aide de la Belgique et du Clergé, alors qu’ils sont tous des putschistes du 13 et 14 mai 2015, selon toujours Pascal Nyabenda! A quelques jours seulement du début de ces pourparlers, le Parti Cndd-Fdd sème stratégiquement la confusion, en vue de briller par la « chaise vide » à Arusha. Il spécule ainsi à jouer le chrono pour pérenniser la crise au Burundi, dans l’espoir de retrouver un jour sa vitalité d’antan par des alliances diverses, en vue de consommer indéfiniment son mandat au pouvoir dans notre pays. En dépit du fait que Pascal Nyabenda est devenu plus arrogant qu’incohérent dans son comportement à la tête du Cndd-Fdd depuis quelques années, il est actuellement plus que jamais dans un fauteuil éjectable.
Dans sa descente aux enfers, ce bricoleur politique qui ne connait rien du Cndd-Fdd, pour y avoir adhéré à la 25ème heure sur base des calculs spéculatifs et bassement matériels, sans aucune conviction philosophique ou politique de sa part, à l’image de tous les inconditionnels du 3e mandat de Pierre Nkurunziza, il est aujourd’hui capable de tout. Il est déjà séduit par l’argent, la gloire et le pouvoir. Ses richesses, sa vanité et son orgueil dégradent, détruisent et ôtent chaque jour, à la vie humaine, à la paix sociale et au développement durable, leur raison d’être au Burundi ! Il se croit Saint et refuse alors de dialoguer avec les Démons ! Il oublie ainsi que la flexibilité en visant l’avenir, en politique comme dans d’autres domaines, c’est l’une des clés du succès. Or, le succès, ça se construit. Il faut avoir du courage, de l’autonomie et de la liberté.
Ce n’est donc pour rien que Pascal Nyabenda, aujourd’hui usé jusqu’à la corde, cherche à détruire toute initiative pacifiste de ramener la paix et la sécurité au Burundi, à n’importe quel prix, simplement pour faire plaisir à son Maitre, Pierre Nkurunziza ! Même s’il faudrait ternir nos relations privilégiées et historiques avec la Belgique, premier partenaire du Burundi sur l’échelle mondiale ! Même s’il faudrait enterrer définitivement le Cndd-Fdd, cette grande formation politique qui les avaient portés démocratiquement au pouvoir depuis 2005 ! Même s’il faudrait classer dans les calendes grecques l’Accord de Paix interburundais d’Arusha, après l’avoir déchiré et brûlé en mille morceaux !
En faisant l’amalgame entre le Clergé, l’Opposition politique radicale, la Société Civile, la Belgique et certains dignitaires belges pris à titre individuel, … vis-à-vis de ce prochain round des pourparlers d’Arusha ; en cherchant vainement à remplacer Arusha par la Commission Nationale de Dialogue Interburundais (CNDI), taillée à la mesure et aux aspirations du Cndd-Fdd Nkurunziza - Nyabenda , Pascal Nyabenda étale au grand jour, son état de santé psychique et politique, de même que celui de son parti et de toutes les Institutions du 3e mandat. En effet, à lire ce communiqué, il se conclut que quand les gens dépassent une certaine limite de politesse, cela démontre leurs faiblesses, pas leurs forces.
C’est peut-être sous ce décor plein de pessimisme que Pascal Nyabenda a voulu également utiliser la recette du mensonge mise au service de la calomnie et de la manipulation, contre notamment la Belgique et le Clergé. Avec comme objectif d’enterrer Arusha au profit de la Commission Nationale de Dialogue Interburundais, CNDI ! Malheureusement, il s’est mis les pieds dans le tapis, abimant ainsi toutes ses chances de se positionner comme un acteur politique de grande influence, incontournable dans la restauration de la paix et de la sécurité au Burundi. Pascal Nyabenda qui n’a jamais été convaincu de l’idéologie originale du Cndd-Fdd, lui qui a adhéré au Cndd-Fdd à la 25e heure ! Aujourd’hui l’erreur magistrale de ce parti serait d’imposer ce 3e mandat de Pierre Nkurunziza à toute la communauté nationale et internationale, tout en cherchant contre vents et marées à piétiner constamment l’Accord de Paix interburundais d’Arusha, pour la Paix et la Réconciliation Nationale. La base légale de la légitimation de l’arrivée au pouvoir de de Pierre Nkurunziza en 2005 pour un mandat de cinq ans, renouvelable une fois !
Quoi qu’il en soit, en boycottant le nouveau round des pourparlers interburundais d’Arusha prévu pour la fin de cette semaine, en misant sur la contestation de l’Accord d’Arusha signé en grande pompe le 28 août 2000 avec la bénédiction de toute la communauté internationale, le Cndd-Fdd version Pierre Nkurunziza – Pascal Nyabenda précipite son enterrement politico-diplomatique. Ce qui est aussi une voie également ouverte à toutes les malédictions divines, surtout qu’il s’agit d’une violation intentionnelle du serment effectué par tous les cadres de ce parti, entrant dans les Institutions du pays. Avant d’être désigné président de la République en 2005, Pierre Nkurunziza, comme d’ailleurs Pascal Nyabenda, avait prêté serment en ces termes : « moi, Pierre Nkurunziza, honoré par le Mouvement Cndd-Fdd pour le représenter dans les Institutions ; je jure devant Dieu le Tout-Puissant, tous les bagumyabanga ici réunis et ceux emportés par la lutte armée, de rester fidèle à l’idéologie du Mouvement et de demeurer attentif en paroles et en actions par le bien-être de mes compagnons de lutte et à l’intérêt supérieur de tous les burundais. J’accepte la malédiction de Dieu le Tout-Puissant en cas de la transgression du présent serment ! » Ainsi va la chute inévitable du couple Nkurunziza-Nyabenda, un duo maudit et vomi par le Tout-Puissant !
Gervais HATEGEKIMANA pour BUJUMBURA News
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