Dans le silence laissé par Son Excellence le Président Jean-Baptiste Bagaza, disparu ce 4 mai 2016 à Bruxelles (Belgique) à l’âge de 69 ans seulement, il n’y a d’abord de place que pour cette évidence : le Burundi est orphelin d’un homme d’exception. Ils ne sont pas nombreux les hommes qui, du Burundi républicain, ont servi leur pays avec autant de courage et d’audace. Ils ne sont pas nombreux ceux qui ont défendu leurs idées avec autant de constance et d’ardeur. Et bien peu d’hommes ont eu un aussi grand souci des autres.
La mort est certes un phénomène ordinaire, mais la disparition de Son Excellence le Président Jean-Baptiste Bagaza reste un événement hors du commun. C’est un Monument qui vient de s’écrouler. Une Bibliothèque vivante qui s’est éteinte. Une perte inestimable pour le Burundi et tous les vrais patriotes de ce pays !
La mort est certes un phénomène ordinaire, mais la disparition de Son Excellence le Président Jean-Baptiste Bagaza reste un événement hors du commun. C’est un Monument qui vient de s’écrouler. Une Bibliothèque vivante qui s’est éteinte. Une perte inestimable pour le Burundi et tous les vrais patriotes de ce pays !
La grande faucheuse vient ainsi enlever à notre affection, celui qui fut Officier supérieur de l’Armée et son Commandant en Chef, un Sénateur à vie, un président de la République pendant toute une décennie de Paix, de Sécurité et de Développement visible et réel. Mais surtout et avant tout, un homme de caractère, bon, courtois, travailleur, plein d’humour, avec des convictions sociales et politiques assumées. Un esprit brillant, doué de qualités et d’un sens des responsabilités exceptionnels.
Ce géant qui vient de nous quitter prématurément est de ceux auxquels la douleur publique fait cortège. Dans les temps où nous sommes, avec cette crise interminable de ce 3e mandat illégal, illégitime et terroriste du despote Pierre Nkurunziza, toutes les fictions s’évanouissent. Les regards se fixent désormais, non sur les têtes qui règnent, mais sur les têtes qui pensent. Et le Burundi tout entier trésaille lorsqu’une de ces têtes disparait. Telle une éclipse solaire. Aujourd’hui, le deuil populaire, c’est la mort du plus grand dirigeant burundais de tous les temps, un travailleur infatigable, un visionnaire politique et un grand stratège militaire. Le deuil national, c’est la mort de l’homme de génie, un « oiseau rare » sur la scène politique burundaise. Ainsi, le nom de Son Excellence le Président Jean-Baptiste Bagaza se mêlera désormais à la trace lumineuse que notre époque contemporaine laissera à la postérité.
Hélas ! Ce compagnon de lutte a vécu parmi nous de cette vie d’orages, des luttes, de querelles, de combats, comme dans tous les temps à tous les grands hommes. Aujourd’hui, le voici en paix. Il sort des contestations et des haines. Il entre, ce 4 mai 2016, dans la gloire et bientôt dans sa dernière demeure. Il va briller désormais, au-dessus de toutes ces nuées qui sont nos têtes, parmi les étoiles de la PATRIE. Sa vie a été courte, mais pleine, plus remplies d’œuvres que de jours !
Excellence Monsieur le Président Jean-Baptiste Bagaza, nous ne t’oublierons jamais. Nous qui t’avons vu à l’œuvre, travaillé avec vous, eu la chance d’être avec vous dans les moments de joie et de détresse, nous n’allons jamais t’enterrer au prochain carrefour ni piétiner votre mémoire ! Que la terre vous soit légère et paix à votre âme ! Ciao amigo !
Toutes mes condoléances les plus attristées à sa famille, à ses proches et à ses amis !
Ce géant qui vient de nous quitter prématurément est de ceux auxquels la douleur publique fait cortège. Dans les temps où nous sommes, avec cette crise interminable de ce 3e mandat illégal, illégitime et terroriste du despote Pierre Nkurunziza, toutes les fictions s’évanouissent. Les regards se fixent désormais, non sur les têtes qui règnent, mais sur les têtes qui pensent. Et le Burundi tout entier trésaille lorsqu’une de ces têtes disparait. Telle une éclipse solaire. Aujourd’hui, le deuil populaire, c’est la mort du plus grand dirigeant burundais de tous les temps, un travailleur infatigable, un visionnaire politique et un grand stratège militaire. Le deuil national, c’est la mort de l’homme de génie, un « oiseau rare » sur la scène politique burundaise. Ainsi, le nom de Son Excellence le Président Jean-Baptiste Bagaza se mêlera désormais à la trace lumineuse que notre époque contemporaine laissera à la postérité.
Hélas ! Ce compagnon de lutte a vécu parmi nous de cette vie d’orages, des luttes, de querelles, de combats, comme dans tous les temps à tous les grands hommes. Aujourd’hui, le voici en paix. Il sort des contestations et des haines. Il entre, ce 4 mai 2016, dans la gloire et bientôt dans sa dernière demeure. Il va briller désormais, au-dessus de toutes ces nuées qui sont nos têtes, parmi les étoiles de la PATRIE. Sa vie a été courte, mais pleine, plus remplies d’œuvres que de jours !
Excellence Monsieur le Président Jean-Baptiste Bagaza, nous ne t’oublierons jamais. Nous qui t’avons vu à l’œuvre, travaillé avec vous, eu la chance d’être avec vous dans les moments de joie et de détresse, nous n’allons jamais t’enterrer au prochain carrefour ni piétiner votre mémoire ! Que la terre vous soit légère et paix à votre âme ! Ciao amigo !
Toutes mes condoléances les plus attristées à sa famille, à ses proches et à ses amis !
Thierry Ndayishimiye
Bien dit Thierry. Je partage tes idees a 100%.
RépondreSupprimerSans commentaire, c' etait un vrai homme.
C'est un homme que j'ai beaucoup apprécié.Il a marqué positivement et d'une façon incontestable l'Histoire du Burundi.Jamais le BURUNDI n'aura connu un si grand homme de valeurs que BAGAZA.Qu'il repose en paix. Prions le Seigneur pour qu'il nous donne un semblable.
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