Dans un post publié ce jeudi 18 août, une campagne révoltante a été entreprise par les réseaux des activistes de la societe civile pro-opposition radicale contre le Lt-Col Alfred Mayuyu. La campagne l’accuse arbitrairement de « nombreuses violations des droits de l’Homme » lors des violentes manifestations et attaques des bandes armées qui ont secoué le Burundi ces derniers temps. Des allégations rejetées par le porte-parole de l’Armée burundaise sur son compte Tweeter.
Le Lt-Col Alfred MAYUYU était jusqu’à fin 2013 Commandant Adjoint de la Brigade Spéciale de Protection des Institutions. Il a rejoint l’École Royale Militaire à Bruxelles où il a passé deux ans avant de retourner au Burundi en mars 2015. Il fut affecté dans la Deuxième Région Militaire.
Même le porte-parole des Forces de Défense Nationale a rejeté ces accusations, rappelant quelques principes: «Avant de s’engager sur le terrain, nos soldats reçoivent une formation en matière de protection et de promotion des droits de l’Homme par des experts nationaux et internationaux. Si certains sont pris en train de violer ces règles, ils sont convoqués devant une cour martiale et font l’objet de sanctions», a-t-il souligné.
Selon le porte-parole, aucun des faits rapportés par ces accusations contre le Lt-Col Mayuyu n’avait été porté auparavant à l’attention de l’État-major des FDN. « Nous conduirons en revanche une enquête sur ces accusations qui visent de manière récurrente certains membres bien ciblés des FDN lorsqu’ils sont recrutés pour participer dans les missions des Nations Unies afin d’en tirer nos conclusions », a-t-il indiqué. Il précise que ce cas n’est pas isolé.
Ces nouveaux cas d’accusations semblent sortir du même laboratoire que celui qui fomentent les allégations d’abus sexuels portées à l’encontre des contingents français de maintien de la paix en Centrafrique et qui ont bien suscité des réactions d’indignation de la part de la communauté internationale, notamment des pays dont les contingents sont pointés du doigts, et qui font partie des pays concernés. Au-delà des individus arbitrairement incriminés, l’honneur de ces pays serait engagé et pour quelle fin?
De la fraternité militaire au kidnapping
Le Lt-Col Alfred Mayuyu est accusé de kidnapping d’un lieutenant à l’Hôpital Militaire de Bujumbura, de participation à l’attaque d’un convoi funèbre et enfin d’assassinat et torture de ses compagnons d’arme issus de l’ancienne armée burundaise.
Or, dans chaque établissement de santé, la sortie d’un patient hospitalisé est régie par des procédures bien claires et précises. La sortie est, comme l’admission, prononcée par le directeur de l’hôpital sur avis conforme du praticien hospitalier chef de service ou de son représentant.
La sortie des malades adultes donne lieu à une remise, par le bureau des entrées, de bulletins de situation, après vérification et mise à jour des informations contenues dans le dossier d’admission. Ceux-ci sont destinés à l’employeur, aux caisses de sécurité sociale et à l’établissement d’accueil en cas de transfert. Ils indiquent les dates de séjour. Avant de quitter l’établissement, le malade doit s’acquitter des frais éventuels lui incombant après prise en charge de sa caisse d’assurance maladie et ou de sa mutuelle.
Le Lt-Col Alfred MAYUYU était jusqu’à fin 2013 Commandant Adjoint de la Brigade Spéciale de Protection des Institutions. Il a rejoint l’École Royale Militaire à Bruxelles où il a passé deux ans avant de retourner au Burundi en mars 2015. Il fut affecté dans la Deuxième Région Militaire.
Même le porte-parole des Forces de Défense Nationale a rejeté ces accusations, rappelant quelques principes: «Avant de s’engager sur le terrain, nos soldats reçoivent une formation en matière de protection et de promotion des droits de l’Homme par des experts nationaux et internationaux. Si certains sont pris en train de violer ces règles, ils sont convoqués devant une cour martiale et font l’objet de sanctions», a-t-il souligné.
Selon le porte-parole, aucun des faits rapportés par ces accusations contre le Lt-Col Mayuyu n’avait été porté auparavant à l’attention de l’État-major des FDN. « Nous conduirons en revanche une enquête sur ces accusations qui visent de manière récurrente certains membres bien ciblés des FDN lorsqu’ils sont recrutés pour participer dans les missions des Nations Unies afin d’en tirer nos conclusions », a-t-il indiqué. Il précise que ce cas n’est pas isolé.
Ces nouveaux cas d’accusations semblent sortir du même laboratoire que celui qui fomentent les allégations d’abus sexuels portées à l’encontre des contingents français de maintien de la paix en Centrafrique et qui ont bien suscité des réactions d’indignation de la part de la communauté internationale, notamment des pays dont les contingents sont pointés du doigts, et qui font partie des pays concernés. Au-delà des individus arbitrairement incriminés, l’honneur de ces pays serait engagé et pour quelle fin?
De la fraternité militaire au kidnapping
Le Lt-Col Alfred Mayuyu est accusé de kidnapping d’un lieutenant à l’Hôpital Militaire de Bujumbura, de participation à l’attaque d’un convoi funèbre et enfin d’assassinat et torture de ses compagnons d’arme issus de l’ancienne armée burundaise.
Or, dans chaque établissement de santé, la sortie d’un patient hospitalisé est régie par des procédures bien claires et précises. La sortie est, comme l’admission, prononcée par le directeur de l’hôpital sur avis conforme du praticien hospitalier chef de service ou de son représentant.
La sortie des malades adultes donne lieu à une remise, par le bureau des entrées, de bulletins de situation, après vérification et mise à jour des informations contenues dans le dossier d’admission. Ceux-ci sont destinés à l’employeur, aux caisses de sécurité sociale et à l’établissement d’accueil en cas de transfert. Ils indiquent les dates de séjour. Avant de quitter l’établissement, le malade doit s’acquitter des frais éventuels lui incombant après prise en charge de sa caisse d’assurance maladie et ou de sa mutuelle.
On a du mal à comprendre comment un patient peut être enlevé dans un hôpital militaire sans qu’il n’y ait aucune procédure écrite. Aucun membre contacté du personnel en charge des entrées et sortie des patients en hospitalisation à l’Hôpital militaire n’a pu nous confirmer ce cas spécifique d’enlèvement dans cet hôpital.
Accusation de participation à l’attaque d’ « un convoi funéraire »
Selon l’article publié par RFI le samedi 31 octobre 2015 au matin, un convoi funéraire revenait du cimetière de Mpanda, dans la localité de Buringa, quand les coups de feu ont éclaté.
Selon la version officielle de la Police burundaise, ce sont les personnes à l’intérieur du bus qui ont ouvert le feu en premier. Lorsque les forces de l’ordre ont voulu arrêter le bus, « une personne qui se trouvait à l’intérieur a tiré, une autre a tenté de lancer une grenade, la police a donc riposté », explique le porte-parole de la police. Une personne a été tuée et 12 autres ont été appréhendées, précise-t-il.
Une version contestée par de nombreux témoins sur place. Ils évoquent entre 10 et 16 morts. Elle a été également rejetée par des témoins qui expliquent aussi qu’une cinquantaine de civils se trouvaient à bord du bus, dont des femmes et des enfants. Il n’y avait aucune arme, indiquent-ils. Toujours selon des témoins, le jeune qui a été inhumé a été tué d’une balle perdue deux jours plus tôt.
Si la police burundaise a déclaré elle-même avoir été impliquée dans cette opération de maintien de l’ordre, quels sont les objectifs réalistes recherchés par le compte @iBurundi, Pacifique Nininahazwe et consorts dans ces accusations impliquant d’une manière générale les officiers hutu des FDN et en particulier cette fois-ci, le Lt-Col Alfred Mayuyu?
Accusation de participation à l’attaque d’ « un convoi funéraire »
Selon l’article publié par RFI le samedi 31 octobre 2015 au matin, un convoi funéraire revenait du cimetière de Mpanda, dans la localité de Buringa, quand les coups de feu ont éclaté.
Selon la version officielle de la Police burundaise, ce sont les personnes à l’intérieur du bus qui ont ouvert le feu en premier. Lorsque les forces de l’ordre ont voulu arrêter le bus, « une personne qui se trouvait à l’intérieur a tiré, une autre a tenté de lancer une grenade, la police a donc riposté », explique le porte-parole de la police. Une personne a été tuée et 12 autres ont été appréhendées, précise-t-il.
Une version contestée par de nombreux témoins sur place. Ils évoquent entre 10 et 16 morts. Elle a été également rejetée par des témoins qui expliquent aussi qu’une cinquantaine de civils se trouvaient à bord du bus, dont des femmes et des enfants. Il n’y avait aucune arme, indiquent-ils. Toujours selon des témoins, le jeune qui a été inhumé a été tué d’une balle perdue deux jours plus tôt.
Si la police burundaise a déclaré elle-même avoir été impliquée dans cette opération de maintien de l’ordre, quels sont les objectifs réalistes recherchés par le compte @iBurundi, Pacifique Nininahazwe et consorts dans ces accusations impliquant d’une manière générale les officiers hutu des FDN et en particulier cette fois-ci, le Lt-Col Alfred Mayuyu?
Selon nos sources, certains milieux internationaux infiltrés par des membres tutsi de l’opposition burundaise œuvrent pour que les officiers hutu ex-FDD n’aient pas accès aux postes internationaux dans les missions des Nations Unies. Ce cas malheureusement n’est pas isolé : le porte-parole des FDN en a été victime en RCA, et 4 officiers FDN ont quitté leurs postes suite aux mêmes accusations.
Participation dans l’échec des attaques du 11 décembre 2016
Toujours selon RFI, vendredi matin, à l’aube, vers 4 heures (heure locale), des insurgés armés ont attaqué deux camps militaires. Le premier est situé au nord de la capitale, le camp Ngagara. Les assaillants ne sont pas parvenus à y pénétrer et, selon des sources militaires, ils ont subi beaucoup de pertes. Dans le sud de Bujumbura, dans le quartier de Musaga qui abrite plusieurs camps militaires, les affrontements ont été très violents. Certains soldats ont rejoint les insurgés et se sont servis en armes dans un camp de base avant de s’introduire dans l’ISCAM, l’institut supérieur qui forme les officiers burundais.
A ce moment, les insurgés ont été attaqués par des militaires venus d’une autre caserne toute proche. Il y a eu de violents affrontements qui ont duré plusieurs heures avant que les assaillants ne décrochent. A cette époque, le porte-parole de l’armée, le colonel Gaspard Baratuza, a donné le bilan: douze assaillants tués et 20 capturés. L’armée n’aurait enregistré que 5 blessés. Que vient faire le Lt-Col Alfred Mayuyu dans l’affaire?
Cela ne fait aucun doute maintenant que certains milieux extrémistes de l’opposition se sont donné comme mission de faire échouer systématiquement chaque recrutement d’un militaire ex-FDD à un poste dans le système des Nations Unies. Le cas du Lt-col Alfred Mayuyu cette fois-ci montrer la face cachée de ces détracteurs de l’image du Burundi à l’étranger. Pourtant, les militaires des Forces de Défense Nationale du Burundi appartiennent à un être collectif. Les comportements individuels ont toujours conditionné l’harmonie du fonctionnement de l’ensemble et contribuent à façonner l’image d’une armée disciplinée partout où elle est déployée dans les missions de maintien de la paix.
La liberté d’expression est un principe intangible. Toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet, mais aussi sur une personne. Cependant, comme pour tout droit, son abus peut être sanctionné, dans les cas déterminés par la loi. Le franc-parler connaît ses limites. C’est ainsi que les auteurs de propos diffamatoires, d’injures ou de dénonciations calomnieuses encourent des sanctions pénales.
Par le mode de communication souvent utilisé (post sur Tweeter, circulaires Whatsapp, post Facebook, blog, etc.), les comptes @iBurundi et ses satellites commettent impunément un délit de diffamation quand ils ne se gênent pas de tenir des propos portant atteinte à l’honneur ou à la considération du Lt-Col Alfred Mayuyu, dès lors que celle-ci est nommément désignée et clairement identifiable. Et ceci sans droit de réponse.
Face à la gravité de ces accusations mensongères, le Lt-Col Alfred Mayuyu assure qu’il va porter plainte pour « dénonciation diffamatoire et injures » en réaction à ces publications.
Participation dans l’échec des attaques du 11 décembre 2016
Toujours selon RFI, vendredi matin, à l’aube, vers 4 heures (heure locale), des insurgés armés ont attaqué deux camps militaires. Le premier est situé au nord de la capitale, le camp Ngagara. Les assaillants ne sont pas parvenus à y pénétrer et, selon des sources militaires, ils ont subi beaucoup de pertes. Dans le sud de Bujumbura, dans le quartier de Musaga qui abrite plusieurs camps militaires, les affrontements ont été très violents. Certains soldats ont rejoint les insurgés et se sont servis en armes dans un camp de base avant de s’introduire dans l’ISCAM, l’institut supérieur qui forme les officiers burundais.
A ce moment, les insurgés ont été attaqués par des militaires venus d’une autre caserne toute proche. Il y a eu de violents affrontements qui ont duré plusieurs heures avant que les assaillants ne décrochent. A cette époque, le porte-parole de l’armée, le colonel Gaspard Baratuza, a donné le bilan: douze assaillants tués et 20 capturés. L’armée n’aurait enregistré que 5 blessés. Que vient faire le Lt-Col Alfred Mayuyu dans l’affaire?
Cela ne fait aucun doute maintenant que certains milieux extrémistes de l’opposition se sont donné comme mission de faire échouer systématiquement chaque recrutement d’un militaire ex-FDD à un poste dans le système des Nations Unies. Le cas du Lt-col Alfred Mayuyu cette fois-ci montrer la face cachée de ces détracteurs de l’image du Burundi à l’étranger. Pourtant, les militaires des Forces de Défense Nationale du Burundi appartiennent à un être collectif. Les comportements individuels ont toujours conditionné l’harmonie du fonctionnement de l’ensemble et contribuent à façonner l’image d’une armée disciplinée partout où elle est déployée dans les missions de maintien de la paix.
La liberté d’expression est un principe intangible. Toute personne peut librement émettre une opinion, positive ou négative, sur un sujet, mais aussi sur une personne. Cependant, comme pour tout droit, son abus peut être sanctionné, dans les cas déterminés par la loi. Le franc-parler connaît ses limites. C’est ainsi que les auteurs de propos diffamatoires, d’injures ou de dénonciations calomnieuses encourent des sanctions pénales.
Par le mode de communication souvent utilisé (post sur Tweeter, circulaires Whatsapp, post Facebook, blog, etc.), les comptes @iBurundi et ses satellites commettent impunément un délit de diffamation quand ils ne se gênent pas de tenir des propos portant atteinte à l’honneur ou à la considération du Lt-Col Alfred Mayuyu, dès lors que celle-ci est nommément désignée et clairement identifiable. Et ceci sans droit de réponse.
Face à la gravité de ces accusations mensongères, le Lt-Col Alfred Mayuyu assure qu’il va porter plainte pour « dénonciation diffamatoire et injures » en réaction à ces publications.
22 août 2016, http://www.ikiriho.org
Innonder le web de mensonges!! Nul n'ignore que ce criminel fait partie du cercle restreint de l'escadron de la mort qui seme la terreur et endeuille quotidiennement le Burundi. Les Nations Unies le savent, elles ont des dossiers individuelles de ces criminels. Cet article est un gagne-pain. Qu'il soit servi!!
RépondreSupprimerVous êtes ridicule tout simplement!!!!!
RépondreSupprimerIl y a des passages dans cet article qui font sourire comme par exemple : (On a du mal à comprendre comment un patient peut être enlevé dans un hôpital militaire sans qu’il n’y ait aucune procédure écrite. Aucun membre contacté du personnel en charge des entrées et sortie des patients en hospitalisation à l’Hôpital militaire n’a pu nous confirmer ce cas spécifique d’enlèvement dans cet hôpital). Oui, ce serait étonnant si on était dans un État de droit mais Le Burundi est devenu une jungle dans laquelle les bandits et assassins sont rois. Et voir cet article publié sur ce site web Burundais http://www.ikiriho.org me fait penser que cet article était destiné à des étrangers pour les tromper sur la situation sécuritaire des Burundais vivant au Burundi et essayer de dédouaner les tortionnaires des burundais à la solde de la dictature en place au Burundi
RépondreSupprimerInutile de vous tracasser, personne ne peut avaler ces mensonges ce qui se passe au Bdi est connu et se voit, le gouvernement fait tout pour se blanchir mais malheureusement ça marche pas comme ça!!!!!!
RépondreSupprimerUn début du commencement.Tous les criminels vont payer d'une façon ou d'une autre.Tres malhonnête le titre" ifficiers Hutu" quelle honte! Vous avez voulus ethiser ce conflit et encore une fois avec la manipulation et mensonges vous amèner l'arme redoutable"Hutu" est-ce que vous penser que les Burundais sont duper. Vous serez errants comme Cain à cause du sang de vos frères.La majorité des Hutu et des Tutsi savent que c'est un problème du pouvoir et non un problème éthique.Le maudit mandat de trop c'est ça le problème. Toute personne intelligente sait que la dictature ne profite à personne mais seul un pays de droit peut protéger tous le monde.Tous ceux qui ont tuer et qui tuent seront traquer de partout pour la justice soit faite.On n'est plus dans les temps où on tuer et personne ne savait ce qui se passait aujourd'hui le monde est devenu un village et malheur à ceux qui ne savent pas.
RépondreSupprimerle cnared fait tout pour diviser l'unité des Barundi et en particulier les force de l'ordre et de sécurité. la fdn et la police sont soudées à la solde de la paix au Burundi et ne peuvent pas accepter de servir les âmes égoïstes serviteurs des occidentaux pour faire agenouiller leur patrie.tôt ou tard le peuple vous jugera de vos comportements intolérables.qui parmi vous ne sait pas que la constitution est au de-là des conventions? Hiérarchie des Normes. qui trompe qui? CETTE INVENTION en terme de 3éme mandat n'est qu'une conspiration européenne pour enfin se servir à l'aise de notre richesse sans se soucier de rien comme c'est le cas dans beaucoup de pays africain surtout ceux colonisés par la France et la Belgique.les coups d'Etat, marche manifestation ont échoué et maintenant vous avez opté de faire tout pour diviser les forces de l'ordre et de sécurité, vous n'y arriverez je vous jure ,le Dieu le tout puissant est le sauveur des âmes traumatisaient depuis longtemps et il est temps que la population Burundaise se réconcilie à travers la justice équitable pour bannir à jamais l'impunité dans notre société. Qui a peur de la démocratie longtemps recherchée, une tête une voix? Alternance au pouvoir Hutu-Tutsi. C'EST CETTE dernière que le CNARED recherche.
RépondreSupprimerJe ne sais pas de quelles richesses vous parlez quand on est le pays le plus pauvre du monde. Je ne sais pas si vous croyez que le Burundi fait partie du G7, si c' est le cas, malheureusement non et réveillez-Vous,On dirait entendre un vieux dictateur entrain d' expliquer pourquoi rien ne va, chez c' est toujours la faute des autres, c' est les autres qui sont mauvais, qui nous empêchent d' avancer.Pour vous tout va bien ,l' objectif est atteint, être le pays le plus pauvre du monde et la mauvaise gouvernance bien sûr ne pas la résultante de tout ça.
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