Selon un adage africain « celui qui ne sait pas se taire, ne saura jamais diriger ». Cette citation s’applique parfaitement au Général-Major Godefroid Niyombare, ancien patron du Service National de Renseignement et véritable « cerveau » de la tentative de coup d’Etat du 13 et 14 mai 2015. En effet, depuis que Pierre Nkurunziza a affiché officiellement son intention inconstitutionnelle de briguer un troisième mandat, le 25 avril 2015, une crise politico-sécuritaire secoue dangereusement le Burundi. Pourtant, il savait pertinemment qu’en ouvrant cette boîte de Pandore, le Burundi allait directement basculer dans une campagne de protestation populaire. C’est ainsi que depuis lors, les burundais ont descendu massivement dans les rues du pays pour marquer pacifiquement leur désaccord contre cet acte de haute trahison, imprimé par Pierre Nkurunziza contre le gré de toute la communauté nationale et internationale.
Dans la foulée de ces manifestations populaires, un groupe d’officiers des Corps de Défense et de Sécurité s’est organisé pour renverser le pouvoir dictatorial de Pierre Nkurunziza. Malheureusement, à cause de l’inexpérience et de l’impréparation du chef des putschistes, en la personne du Général-Major Godefroid Niyombare, ce coup d’Etat tant attendu par le peuple burundais a non seulement échoué, mais aussi il est venu arrêter brusquement ce mouvement de contestation populaire, avant de permettre aux milices armées de Pierre Nkurunziza de « nettoyer » systématiquement toutes les lignes de la contestation contre ce troisième mandat de Pierre Nkurunziza ! Malgré donc ce bain de sang qui s’en est suivi et qui continue toujours dans toutes les provinces du Burundi, malgré des milliers d’exilés politiques et d’autres réfugiés ordinaires, … le Général-Major Godefroid Niyombare se la coule douce dans les villas qui lui ont été gracieusement offertes en Afrique de l’Ouest.
Pour beaucoup d’analystes et commentateurs politiques, l’échec de ce coup d’Etat s’explique principalement par cette défaillance couplée d’ambitions démesurées et d’une boulimie politicienne soutenue par un despotisme d’un autre âge, personnifié par un Général-Major aussi incompétent qu’irresponsable, un aventurier politico-militaire constamment insatiable dont la tentative de prise de pouvoir par les armes, a sérieusement renforcé la répression sauvage de son tuteur-pasteur, Pierre Nkurunziza, vis-à-vis de ces jeunes manifestants, aujourd’hui en décomposition dans les fosses communes du troisième mandat, quand ils ne sont pas oubliés dans les prisons du pays ou en exil, dans des conditions inhumaines ! En dépit de ce fiasco, le Général-Major Godefroid Niyombare manifeste encore ses ambitions politiques illégitimes, en faisant croire à la diaspora burundaise et aux pays de la sous-région qu’il dispose encore des capacités politico-militaires suffisantes pour annihiler le système dictatorial de Nkurunziza, oubliant que lui aussi fait partie de la troupe servile de Nkurunziza dont il était l’élève modèle et docile de 2005 à 2015. Il doit par conséquent assumer tous les crimes macabres du couple Nkurunziza-Niyombare au même titre que son maître.
Pis encore, pour occulter ses faiblesses morales et son manque de courage et des vertus stoïques, il vient d’initier une campagne de collecte de fonds, à travers différentes villes européennes, américaines, canadiennes, asiatiques et africaines, pour semble-t-il, financer la formation militaire et paramilitaire, ainsi que des opérations dont les Forces Républicaines Burundaises (FOREBU) ont besoin pour mettre fin à la dictature qui règne au Burundi. Or, la réalité est que le Général-Major Godefroid Niyombare n’a aucun homme, aucun fusil et n’a même pas de terrain pour former ou entretenir un seul soldat. La vérité est que le Général-Major Godefroid Niyombare n’est pas Coordonnateur Général des FOREBU, il n’a jamais appartenu aux FOREBU et par conséquent il n’a pas d’ordre à donner aux FOREBU. Ne serait-il pas prétentieux que ce militaire qui n’a jamais commandé un peloton ou bénéficié d’une promotion dans une Académie militaire internationalement reconnue, puisse se prévaloir d’être le Coordonnateur Général des FOREBU qu’il n’a jamais vu ni connu. Ce positionnement guidé par des calculs politiques spéculatifs, commence à inquiéter sérieusement certains de ses connaissances, y compris les membres de sa famille biologique, d’après l’un de ses cousins germains.
Selon une source autorisée proche de l’Etat-Major Général des FOREBU, ce mouvement politico-militaire est désormais bien implanté à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Il serait également aujourd’hui impossible de s’autoproclamer leader des FOREBU, encore moins de les déstabiliser comme le Général-Major Godefroid Niyombare essaie de le faire actuellement. Rien n’explique pourquoi ce malheureux prétendant au trône fait semblant d’oublier qu’en date du 22 décembre 2015, le Lieutenant-Colonel Edouard Nshimirimana a porté officiellement à la connaissance du Burundi et du monde entier, la création des FOREBU, dans son treillis d’officier d’Etat-Major de ce mouvement ! Loin de provoquer ou d’entretenir une quelconque polémique avec un officier qui en réalité n’en est pas un, d’autant plus que son passé récent figure d’orès et déjà dans le palmarès des dégâtiers les plus titrés de la gouvernance Nkurunziza, il serait plus sage de sa part de créer sa propre formation politico-militaire, à défaut, de se taire comme un véritable gentleman ! Certaines indiscrétions proches des FOREBU nous annoncent déjà que ce mouvement serait sur le point de brandir officiellement son carton rouge contre le Général-Major Godefroid Niyombare, dans une forme et un décor qui reste un mystère total !
Pendant ce temps, le Général-Major Godefroid Niyombare poursuit sa campagne de collecte de fonds au nom des FOREBU pour subvenir finalement à ses propres besoins vitaux, entretenir sa personnalité, celle de son entourage et de se chercher une place au soleil après le départ de Pierre Nkurunziza. Peut-être aussi que ces fonds servent à renforcer directement le pouvoir Nkurunziza, tout en continuant à discréditer les véritables FOREBU. D’après un officier supérieur des FOREBU, « ces grimaces du Général-Major Godefroid Niyombare ne nous inquiètent pas outre mesure. Nous avons toujours notre objectif de renverser très prochainement les Institutions illégales du troisième mandat et de mettre hors d’état de nuire tous les escrocs et tous les usurpateurs qui voudraient s’enrichir sur le dos du contribuable et des réfugiés burundais, aujourd’hui en détresse ! » Un rêve du matin ne devient jamais une réalité, dit-on !
Dans la foulée de ces manifestations populaires, un groupe d’officiers des Corps de Défense et de Sécurité s’est organisé pour renverser le pouvoir dictatorial de Pierre Nkurunziza. Malheureusement, à cause de l’inexpérience et de l’impréparation du chef des putschistes, en la personne du Général-Major Godefroid Niyombare, ce coup d’Etat tant attendu par le peuple burundais a non seulement échoué, mais aussi il est venu arrêter brusquement ce mouvement de contestation populaire, avant de permettre aux milices armées de Pierre Nkurunziza de « nettoyer » systématiquement toutes les lignes de la contestation contre ce troisième mandat de Pierre Nkurunziza ! Malgré donc ce bain de sang qui s’en est suivi et qui continue toujours dans toutes les provinces du Burundi, malgré des milliers d’exilés politiques et d’autres réfugiés ordinaires, … le Général-Major Godefroid Niyombare se la coule douce dans les villas qui lui ont été gracieusement offertes en Afrique de l’Ouest.
Pour beaucoup d’analystes et commentateurs politiques, l’échec de ce coup d’Etat s’explique principalement par cette défaillance couplée d’ambitions démesurées et d’une boulimie politicienne soutenue par un despotisme d’un autre âge, personnifié par un Général-Major aussi incompétent qu’irresponsable, un aventurier politico-militaire constamment insatiable dont la tentative de prise de pouvoir par les armes, a sérieusement renforcé la répression sauvage de son tuteur-pasteur, Pierre Nkurunziza, vis-à-vis de ces jeunes manifestants, aujourd’hui en décomposition dans les fosses communes du troisième mandat, quand ils ne sont pas oubliés dans les prisons du pays ou en exil, dans des conditions inhumaines ! En dépit de ce fiasco, le Général-Major Godefroid Niyombare manifeste encore ses ambitions politiques illégitimes, en faisant croire à la diaspora burundaise et aux pays de la sous-région qu’il dispose encore des capacités politico-militaires suffisantes pour annihiler le système dictatorial de Nkurunziza, oubliant que lui aussi fait partie de la troupe servile de Nkurunziza dont il était l’élève modèle et docile de 2005 à 2015. Il doit par conséquent assumer tous les crimes macabres du couple Nkurunziza-Niyombare au même titre que son maître.
Pis encore, pour occulter ses faiblesses morales et son manque de courage et des vertus stoïques, il vient d’initier une campagne de collecte de fonds, à travers différentes villes européennes, américaines, canadiennes, asiatiques et africaines, pour semble-t-il, financer la formation militaire et paramilitaire, ainsi que des opérations dont les Forces Républicaines Burundaises (FOREBU) ont besoin pour mettre fin à la dictature qui règne au Burundi. Or, la réalité est que le Général-Major Godefroid Niyombare n’a aucun homme, aucun fusil et n’a même pas de terrain pour former ou entretenir un seul soldat. La vérité est que le Général-Major Godefroid Niyombare n’est pas Coordonnateur Général des FOREBU, il n’a jamais appartenu aux FOREBU et par conséquent il n’a pas d’ordre à donner aux FOREBU. Ne serait-il pas prétentieux que ce militaire qui n’a jamais commandé un peloton ou bénéficié d’une promotion dans une Académie militaire internationalement reconnue, puisse se prévaloir d’être le Coordonnateur Général des FOREBU qu’il n’a jamais vu ni connu. Ce positionnement guidé par des calculs politiques spéculatifs, commence à inquiéter sérieusement certains de ses connaissances, y compris les membres de sa famille biologique, d’après l’un de ses cousins germains.
Selon une source autorisée proche de l’Etat-Major Général des FOREBU, ce mouvement politico-militaire est désormais bien implanté à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Il serait également aujourd’hui impossible de s’autoproclamer leader des FOREBU, encore moins de les déstabiliser comme le Général-Major Godefroid Niyombare essaie de le faire actuellement. Rien n’explique pourquoi ce malheureux prétendant au trône fait semblant d’oublier qu’en date du 22 décembre 2015, le Lieutenant-Colonel Edouard Nshimirimana a porté officiellement à la connaissance du Burundi et du monde entier, la création des FOREBU, dans son treillis d’officier d’Etat-Major de ce mouvement ! Loin de provoquer ou d’entretenir une quelconque polémique avec un officier qui en réalité n’en est pas un, d’autant plus que son passé récent figure d’orès et déjà dans le palmarès des dégâtiers les plus titrés de la gouvernance Nkurunziza, il serait plus sage de sa part de créer sa propre formation politico-militaire, à défaut, de se taire comme un véritable gentleman ! Certaines indiscrétions proches des FOREBU nous annoncent déjà que ce mouvement serait sur le point de brandir officiellement son carton rouge contre le Général-Major Godefroid Niyombare, dans une forme et un décor qui reste un mystère total !
Pendant ce temps, le Général-Major Godefroid Niyombare poursuit sa campagne de collecte de fonds au nom des FOREBU pour subvenir finalement à ses propres besoins vitaux, entretenir sa personnalité, celle de son entourage et de se chercher une place au soleil après le départ de Pierre Nkurunziza. Peut-être aussi que ces fonds servent à renforcer directement le pouvoir Nkurunziza, tout en continuant à discréditer les véritables FOREBU. D’après un officier supérieur des FOREBU, « ces grimaces du Général-Major Godefroid Niyombare ne nous inquiètent pas outre mesure. Nous avons toujours notre objectif de renverser très prochainement les Institutions illégales du troisième mandat et de mettre hors d’état de nuire tous les escrocs et tous les usurpateurs qui voudraient s’enrichir sur le dos du contribuable et des réfugiés burundais, aujourd’hui en détresse ! » Un rêve du matin ne devient jamais une réalité, dit-on !
Gervais Hategekimana
On ne veut pas la guerre au Burundi.Le changement oui mais pas la guerre!Si vous amener la guerre au Burundi je vous garanti que vous aurez un soutien très faible pour le moment car les séquelles de la guerre civile précédente sont toujours là!Plutôt il faut favoriser le dialogue et c'est toujours possible de réussir sans verser le sang des innocents!
RépondreSupprimerAbazungu ubwenge bwarabasize gushika ubu nibo bonyene batazi ko niyombare atigeze arwana
RépondreSupprimeryabaye gnl par complaisance/
ntibitangaje kubona rero UE iriko irasambuka tout comme les organisations qu"elle soutient, CNARED et FOREBU
Ambitions démesurées, incompétences, oui vous avez raison. Et nombre de personnes se demandent par où il est passé ou il se cache. L'adage qui dit que "Plus on monte haut, plus on montre son cul" est parfaitement valable pour ces généraux qui dorment et se réveillent "Généraux" sans aucune compétence pour honorer ces grades. Mais alors, pourquoi le dites-vous maintenant, plus de douze mois de tergiversations et autres incongruités? Que le FOREBU se lève et dise clairement que Niyombare n'est pas son leader, car dans le communiqué lu par le Lt-Col Edourd Nshimirimana, le Général-Major Niyombare avait une place de choix et aucun autre communiqué ne l'a démenti. Ce que vous amorcez est une classique gueguerre des maquisards, on sait très bien que "Abarutanguye atari bo baruheza". Si non, si vous avez attendu plus de douze mois pour constater que ce général n'est pas à la hauteur de ses ambitions, vous n'êtes pas moins inquiétants.
RépondreSupprimerPauvre Godefroid Niyombare, tu es entrain d'être trahi par ceux qui t'ont utilisé. En réalité, Un général de service et ses maîtres ont échoué, ensemble, de chasser les DD au pouvoir, mais seul le général est devenu un bouc émissaire de l'échec du dernier coup d'État. Mon Dieu, on te traite d'un faux général et buissonnier, d'un incompétent, d'un escroc, etc..., alors qu'il y a une année, tu étais un brave pour l'opposition. Et un lâche, un traite pour tes compagnons de lutte au sein du FDD_CNDD.
RépondreSupprimerDe ce constat, Peu t'applaudit et avec raison. Tu as trahi les tiens et tu as été un mauvais exécutant de service à cause de ton incompétence, dit-on, que tes anciens maîtres viennent de découvrir.
Monsieur Godefroid, tu as échappé la prison mais tu n'échapperas le salissage même de tes amis dans le coup d'État.