Ce samedi 09 avril 2016, la diaspora burundaise de Belgique marque un pas de plus dans son ambition de réunir les burundais de tous les horizons, hommes, femmes, toutes les communautés burundaises sans distinction une ambiance bon enfant.
Une journée diversifiée : Sport, Culture et Débats
A tout Seigneur, tout honneur, il faut d’entrée de jeu mentionner que la valeur ajoutée dans l’organisation aura été la présence de l’infatigable et incorruptible défenseur des droits de l’homme Pierre Claver Mbonimpa qui a reçu le « Certificat de mérite patriotique » pour l’occasion.
La cohérence jusqu’au bout était le maître mot de la cérémonie. Ainsi comme pour s’inscrire dans la continuité de la résistance de la femme africaine, un thème développé par Madame Sandra Shibura, un certificat de mérite patriotique a également été remis à madame Maggy Barankitse.
Oui, la cohérence, parlons-en. En effet dans son discours, Monsieur Bakunda Athanase, président de la DBB a lancé un appel vibrant à l’unité et la solidarité tant mise à mal par les discours incendiaires de certains ténors du pouvoir à Bujumbura pour qui la corde ethnique est devenue leur orgue de Staline.
Et pour le relayer, Monsieur Mamès Bansubiyeko, dans sa casquette de coordinateur du comité de crise a rappelé avec insistance que la violence est une voie sans issue et qu’elle ne peut pas être considérée comme une panacée pour résoudre la crise Burundaise.
Monsieur Mames sait de quoi il parle à traversle thème qu’il développait à savoir :« La diaspora et la crise burundaise ». Certains ont malgré tout exprimé leurs réserves quant à la possibilité de considérer la violence comme une des options pour en venir à bout du système Nkurunziza.
Quid de la relation de l’AWEPA avec le pouvoir actuel de Bujumbura ?
Mme Lydia Maximus, coordinatrice de l’action politique au Burundi, n’y va pas par mille chemins : Pas de relations avec un parlement illégitime.
Par ailleurs comment ce pouvoir se permet-il d’appeler «terroristes » des politiciens responsables qui réclament un minimum de démocratie.
En effet, sur demande du parlement légitime dirigé par l’honorable Ngendakumana Léonce, le CNDD-FDDà l’époque commandée par Pierre Nkurunziza, a échappé bel à cette étiquette de « terroriste » avec l’influence de Nelson Mandela au conseil de sécurité des nations unis. Le président Nelson Mandela avait été saisi par l’Honorable Lydia Maximus elle-même. Elle s’est donc demandé comment le CNDD-FDD, pouvait avoir une mémoire si courte ?On aurait tendance à dire « UKIRA ISEMU UKIBAGIRA ICAYIGUTEYE » si on essaye de traduire les sentiments de cette brave dame qui n’a rien ménagé pour aider à la démocratisation des institutions burundaises en l’occurrence le sénat et le parlement.
Les autorités de la ville ont tenu à être présentes
La ville de Liège dans un premier temps participé activement dans la préparation de la journée notamment en imprimant par des centaines les affiches et en octroyant un rafraichissement aux équipes de foot et de basket.
Dans un deuxième temps, le Bourgmestre tenait à être présent personnellement et même développé un des thèmes du jour. Mais hélas, il devait aller dans une réunion des maires francophones dont il est le Vice-président. La réunion a eu lieu à Paris.
Néanmoins, il s’est fait représenté par le conseiller le plus ancien de la ville de Liège, monsieur Jean-Pierre Goffin. Il a passé en revue les relations séculaires qui ont toujours liè la ville de Liège au Burundi, jumelage des deux ports de Liège et Bujumbura, échange entre universités etc.
Mais plus important à nos yeux, et ce n’est pas la première fois, il a tenu s’émerveiller du comportement exemplaire de la communauté burundaise de Liège.
En un mot, on a vu et vécu un esprit et une ambiance qui tranche avec le froid politico-ethnique qui s’abat sur le Burundi, la diaspora burundaise de Belgique reste unie, solidaire, debout et optimiste au point même d’envisager des projets de développement pour le Burundi dès le moindre éclairci.
Pour le reste les images sont plus bavardes:
Une journée diversifiée : Sport, Culture et Débats
A tout Seigneur, tout honneur, il faut d’entrée de jeu mentionner que la valeur ajoutée dans l’organisation aura été la présence de l’infatigable et incorruptible défenseur des droits de l’homme Pierre Claver Mbonimpa qui a reçu le « Certificat de mérite patriotique » pour l’occasion.
La cohérence jusqu’au bout était le maître mot de la cérémonie. Ainsi comme pour s’inscrire dans la continuité de la résistance de la femme africaine, un thème développé par Madame Sandra Shibura, un certificat de mérite patriotique a également été remis à madame Maggy Barankitse.
Oui, la cohérence, parlons-en. En effet dans son discours, Monsieur Bakunda Athanase, président de la DBB a lancé un appel vibrant à l’unité et la solidarité tant mise à mal par les discours incendiaires de certains ténors du pouvoir à Bujumbura pour qui la corde ethnique est devenue leur orgue de Staline.
Et pour le relayer, Monsieur Mamès Bansubiyeko, dans sa casquette de coordinateur du comité de crise a rappelé avec insistance que la violence est une voie sans issue et qu’elle ne peut pas être considérée comme une panacée pour résoudre la crise Burundaise.
Monsieur Mames sait de quoi il parle à traversle thème qu’il développait à savoir :« La diaspora et la crise burundaise ». Certains ont malgré tout exprimé leurs réserves quant à la possibilité de considérer la violence comme une des options pour en venir à bout du système Nkurunziza.
Quid de la relation de l’AWEPA avec le pouvoir actuel de Bujumbura ?
Mme Lydia Maximus, coordinatrice de l’action politique au Burundi, n’y va pas par mille chemins : Pas de relations avec un parlement illégitime.
Par ailleurs comment ce pouvoir se permet-il d’appeler «terroristes » des politiciens responsables qui réclament un minimum de démocratie.
En effet, sur demande du parlement légitime dirigé par l’honorable Ngendakumana Léonce, le CNDD-FDDà l’époque commandée par Pierre Nkurunziza, a échappé bel à cette étiquette de « terroriste » avec l’influence de Nelson Mandela au conseil de sécurité des nations unis. Le président Nelson Mandela avait été saisi par l’Honorable Lydia Maximus elle-même. Elle s’est donc demandé comment le CNDD-FDD, pouvait avoir une mémoire si courte ?On aurait tendance à dire « UKIRA ISEMU UKIBAGIRA ICAYIGUTEYE » si on essaye de traduire les sentiments de cette brave dame qui n’a rien ménagé pour aider à la démocratisation des institutions burundaises en l’occurrence le sénat et le parlement.
Les autorités de la ville ont tenu à être présentes
La ville de Liège dans un premier temps participé activement dans la préparation de la journée notamment en imprimant par des centaines les affiches et en octroyant un rafraichissement aux équipes de foot et de basket.
Dans un deuxième temps, le Bourgmestre tenait à être présent personnellement et même développé un des thèmes du jour. Mais hélas, il devait aller dans une réunion des maires francophones dont il est le Vice-président. La réunion a eu lieu à Paris.
Néanmoins, il s’est fait représenté par le conseiller le plus ancien de la ville de Liège, monsieur Jean-Pierre Goffin. Il a passé en revue les relations séculaires qui ont toujours liè la ville de Liège au Burundi, jumelage des deux ports de Liège et Bujumbura, échange entre universités etc.
Mais plus important à nos yeux, et ce n’est pas la première fois, il a tenu s’émerveiller du comportement exemplaire de la communauté burundaise de Liège.
En un mot, on a vu et vécu un esprit et une ambiance qui tranche avec le froid politico-ethnique qui s’abat sur le Burundi, la diaspora burundaise de Belgique reste unie, solidaire, debout et optimiste au point même d’envisager des projets de développement pour le Burundi dès le moindre éclairci.
Pour le reste les images sont plus bavardes:
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